dimanche 10 août 2008

Atlas des anneaux

Ce post est consacré au N libyque qui a fini par me réconforter dans mes convictions les plus profondes dont celle acquise récemment: Atlantide a bel et bien existé!

Préambule
Je ne suis pas un adepte de Saint-Augustin même s'il est originaire de nos contrées (je lui préfère Apulée!) mais sa sagesse est souvent admirable "mieux vaut ne pas chercher et trouver que chercher et ne pas trouver" (à propos de Vérité); c'est dire qu'en analysant le mystère de notre langue-mère, la langue libyque (kabyle et "berbère" contemporains) il me semble que j'ai trouvé la clé de l'énigme du monde disparu, ce monde que tant de monde cherche et ne trouve pas. Aujourd'hui je le déclare: ma conviction profonde et sincère est que le monde disparu dont le mythe nous est parvenu grâce au vénérable grec Platon, l'Atlantide, a bel et bien existé! Ce sont par des moyens raisonnables, par le savoir et non par le charlatanisme que l'on va essayer de la retrouver et de la situer dans l'espace et dans le temps. Au nom de tous les miens je remercie Le Créateur pour cette intuition qui m'a permis d'entrevoir la Vérité en ayant aujourd'hui la certitude qu'Elle sera étalée au grand jour très bientôt!

Le N libyque
J'avais commencé il y a déjà un certain moment à analyser le N libyque. Le N qui atteste le pluriel, l'appartenance (génitif), etc...Mais le déclic fut provoqué par un post récent en parlant du mot grec "anodhos" (anode), après j'ai compris que le N libyque atteste aussi "hauteur" (montée) comme dans amNay (cavalier), a-serdhun (mule), a-sawen (montée). J'ai essayé d'aller plus loin, entre autres d'analyser les suffixes en "N" (un/nu, in/ni). J'ai pris tous les mots intéressants de mon lexique et du lexique du vénérable Mr Sahki (lien ici:
http://www.tawalt.com/pdf/TAMTAF.pdf). J'ai tiré les suppositions et conclusions (eh oui!) qui vont suivre plus loin dans ce texte.
Anneau
D'abord j'ai saisi que le N libyque désigne un niveau (inyen, adaynin, sawen, etc...). Ensuite j'ai vu que le suffixe "uN" (serdhun) confirme la hauteur et "Nu" la profondeur comme vous le voyez sur la parabole mais pas pour a-mdhun (bassin, trou d'eau), a-vrun/a-frun (flaque).

Là j'ai compris qu'il s'agit d'un anneau, hypothèse qui explique a-nu = puits, kanun = foyer, âtre. Dans le sens le plus large le N libyque est:
ANNEAU. l'anneau relève d'une symbolique particulière, on le verra à part ultérieurement.

ONDE. onduler, ondulation..."sendu, ndu-ndu ay ighi" connaissez? Ou bien le mot a-Lenni = toupie (on dit aussi a-ZerbuDH)? Bon! Le L = axe de rotation et N = les orbites/cercles/ondes de rotation. Pour le libyque le N = amplitude de l'ondulation (sinusoide), M la distance entre N1et N2 (espace entre deux cercles de l'ondulation), entre N2-N3 ainsi de suite, le M est toujours médian, au milieu, à côté (tha-ma/tsa-ma); M indiquerait une notion d'espace et de temps, donc M serait probablement la période de l'ondulation, L étant la source de l'onde et probablement aussi la vitesse. Il nous reste à comprendre tout celà pour déduire la longueur d'onde et la fréquence (inversement proportionnelle à la période). Tha-numi = "habitude" signifie ici "période" ou "fréquence"?

VAGUE. le mot a-man = eau s'explique physiquement. RIDE. tha-wenza = front/destinée.
COURBE. ou pente NS comme en toponymie nes de thénés (Ténès, Tunis) = lieu courbé/incliné.
PONT. Le N doit être présent dans l'appellation de "pont" en libyque.
SINUS. ça veut dire que sin n'est pas 2 mais double, paire, interférent.
ARC. anzar = arc-en-ciel
FRONTAL. nzer/anzaren = nez et anyir = front. Thinegnith = la renverse (negh = haut, ni = bas)
NUL. comme L est la source "nul" est l'onde zéro. Nul est du latin nullus. Négation. CERCLES CONCENTRIQUES. méfiez-vous des kabbalistes ou autres qui les utilisent (cercles concentriques de la structure du bois, etc...) avec une certaine motivation mais aucune base logique qui se référer à leurs langues; Dans notre langue ces cercles ont un sens bien déterminé (géométrique) et démontrable (sans aucun charlatanisme): SLN de "a-slen" = arbre qu'on a déja démontré ici avec le post "Salas". ENCEINTE. tout ce qui est à l'intérieur délimité par l'amplitude N; nufru ou tha-mnifrith = femme enceinte.
GENITIF. i-geni = ciel. n'ath, n' = atteste l'appartenance (ethnie), la provenance (région, pays).
BOUCLE. qen = lier, a-mequn = bouquet

LUNE. ce mot est parvenu en latin via le libyque, c'est géométriquement une certitude.
ORBITE. le N libyque ondulatoire atteste surtout l'orbite (cercle, sphère) autour du noyau (source).
atome de Bohr
En plus je peux avancer les hypothèses suivantes:
M designe la surface (médiane), L'ESPACE.
MN = aman
NuM = "habitude" signifie PERIODE, périodicité
DH emphatique ne désigne pas le noyau mais le corps, l'ATOME
NeDH = nouer (latin: nodare)
S emphatique (ou sa variante Z emphatique) désigne la masse de l'atome, le NOYAU de l'atome?
nes/sens = "éteindre", "coucher" (N haut vers S centre) vs SeN = savoir (du centre S au N haut) = propager, multiplier.
Z emphatique (ou sa variante S emphatique) désigne la GRAVITE (l'attraction).
Zay = "lourd", aZ = pousser/rapprocher

Pour ce qui est de l'étymologie des mots latins on voit bien les interférences mais dès à présent on voit bien qui possède les preuves formelles, scientifiques (géométrie/physique) de la source. Tiens, le mot "éceltron" normalement il vient du grec ήλεκτρον et signifie «ambre»...on verra plus tard s'il y a une autre variante, plus convaincante, plus scientifique.

Epilogue
Vous n'êtes pas obligés de me croire et de croire, cependant je vous incite à la réflexion. Mon but n'est autre que La Vérité, Le Créateur m'en est témoin. A ceux qui croient, et qui croient en cette Vérité qui sera bientôt étalée, je vous demande s'il vous est possible de passer aux Ath-Dwala d'aller sur la place de "la terre noire" a-kael a-verkan (à l'extérieur du temple) et de donner l'aumône symbolique au pauvre pour remercier Le Créateur de son aide. Notre peuple, à vous et à moi, doit être prêt à accepter la Vérité du Créateur et se libérer de l'esclavagisme des usurpateurs qui dure des millénaires. N'ayez crainte, nobles citoyens, La Vérité du Créateur est de notre côté, nous vaincrons. Le Savoir, la Vérité et Dieu sont sur nos langues au quotidien, dans notre langue que "le temps de l'usurpateur", le temps de notre déchéance n'a pas pu éliminer.

L'Atlantide selon Platon était divisée en anneaux. Nous avons le L et N dans l'appellation grecque, probablement proche de l'appellation originelle atlante. L de latitude et N de longitude. On arrivera à trouver les coordonnées de l'Atlantide perdue. A la prochaine, filles et fils d'Atlas!

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