jeudi 20 décembre 2012

Algérue

Offtop

Qui se ressemble s'assemble, de l'Algérie Française à la Kabylie Algérienne...

C'est l'Algérue pour M. le débonnaire président de l'ancienne puissance coloniale ! Un hammam de foule ou bain de ghâchis pour le président de la République Française à Alger. Pendant ce temps là - le feu couvait déjà depuis un bon moment - la fumée s'échappe du bâtiment colonial de la Grande Poste :))) Faut croire que les usurpateurs ont mis à exécution leur menace de défranciser et d'arabiser même la Poste le jour même de la venue de M. Hollande !

Que ce soit le colon d'hier ou celui d'aujourd'hui, le leitmotiv est toujours le même : on célèbre l'amitié entre les franchouillards et les arabes (les maures arabisées) et ce ...en terre des mazighs ! Ils parlent du passé et du futur, jamais du présent. Ils parlent des pieds noirs et des cols blans-francs, de l'idylle entre les fils de Mahomet (arabes ou maures arabo-islamisés) et les fils de Moïse (les sépharades en l'occurence) sur cette terre des fils d'Anzar (kabyles et autres mazigh), la Césarée. En somme, des araberies traditionnelles entre saint-simoniens et hillaliens. Ils parlent des morts et des maures, jamais des présents et des vivants. Des vivants qu'ils veulent enterrer vifs, les dépositaires de l'identité de ce pays (kabyles, chaouis, etc...) étant toujours sous la botte de l'occupant. Hier c'était l'Algérie Française, de nos jours c'est la Kabylie Algérienne à la sauce maure-arabe-islamiste qu'on veut imposer par la force.

Deux complices qui parlent d'avenir d'un pays menacé en permanence de rechute dans la violence islamiste malgré la concorde civile ou la réconciliation nationale de façade et dont le pouvoir est usurpé par des étrangers, appelés les "marocains" (maures occidentaux arabo-islamisés). 
Un pays avec la concorde au cou et le maure dans l'âme n'a pas d'avenir. Rendons à César ce qui appartient à César, et la Césarée aux Césariens (fils d'Anzar). 
Amen ! 

jeudi 6 décembre 2012

Barca, le dragon

La célérité ou le chemin le plus court...

La mythologie kabyle témoigne des chevaux d'éclair et de vent pour attester une très, très grande vitesse de mouvement; la grecque de Pégase cheval ailé; d'autres cultures (nordiques, asiatiques) parlent elles de dragons ailés crachant du feu.

On ne va pas aller par 4 chemins et voici une formule de change qui va illuminer notre chemin:
V kabyle ~ D latin (ou B kabyle/mazigh ~ D latin/grec)

Dragon
La racine VRQ ou BRC pour veReq en kabyle, el-barq en sémite arabe désignent l'éclair. Cette racine est isolée en arabe par contre elle est omniprénte en kabyle/mazigh: on suppose qu'elle aurait probablement existé en libyco-punique, en phénicien (Barca dynastie phénicienne carthqginoise d'Afrique du Nord). Avec la formule de change susmentionnée on obtient:
VRQ, BRC ~ DRQ/DRC ou DRG comme dans dragon.
Idem pour la racine kabyle/mazigh VRK, BRK (averkan = noir, brun) qui atteste une "bifurcation" (fraction) comme on l'a dit dans le billet précédent: cette racine deviendrait DRK ou DRG tout aussi proche de "dragon" (dark existe aussi en anglais pour le même sens "noir, obscur").

E=MC2
Deux conclusions VRK, VRQ ou BRC pour "vreq" l'éclair = DRQ, DRG, DRC:
1. Le chemin le plus court est une droite...Le sens de cette racine VRC en kabyle serait équivalent à DRC pour la racine et Direct/Droite pour le sens;
2. Le sens profond de ce mot et de ce mythe qui parle de célérité extrême (éclair) indique simplement que les anciens prêtres ayant inventé cette métaphore (cheval ailé, dragon) pour vulgariser le savoir pour le pérenniser dans la mémoire des hommes - la preuve il a résité au temps, reste qu'il faut l'interpréter comme il se doit et non pas le transformer en dogme religieux comme font vous savez qui! - et qui porte sur la notion suivante: la vitesse de la lumière qui se déplace normalement "directement" (dans le vide/l'espace par exemple) car elle prend le plus court chemin du point A à B (faisceau laser par exemple). C'est à dire que la formule utilisée dans/depuis l'antiquité "rapide comme l'éclair" équivaut à dire "rapide comme la lumière" scientifiquement parlant.
En clair, et là c'est une profonde conviction, le cheval ailé rapide comme l'éclair ou bien le dragon d'antan attestent indéniablement que les anciens, les premiers prêtres en premier lieu, savaient ou devinaient, bien longtemps avant Einstein, que dans ce monde la vitesse de la lumière est la vitesse limite, indépassable.
P.S
- La racine de VRK, BRC de averkane (berkane) devenant DRK sera étudiée séparément dès que possible;
- Combien de têtes a le dragon? - tout dépend mais généralement c'est 7 têtes comme c'est le cas de Thallaphsa en kabyle/mazigh. On peut supposer que 7 c'est pour les 7 couleurs du spectre de la lumière et qu LF ou LPh de Aleph/Alpha dans Thallaphsa kabyle/mazigh ait une relation avec Aleph qui est un trait, une ligne droite (verticale) comme le parcours de la lumière...mais là c'est une autre histoire que l'on abordera une autre fois. 

mardi 4 décembre 2012

Zitouna

L'olivier du coing...

Là on va voir combien les toponymes attestent du fossé entre l'Afrique du Nord d'avant et d'après les invasions arabo-musulmanes du 7 siècle. 

Akli
En analysant le k aspiré et le lexique kabyle correspondant, on peut avancer la formule suivante:
k aspiré ~ z occlusif
(plus globalement k,g aspirés ~ s,z occlusifs) 
Exemples:
1) k dans [kl] de thikli (marche, mouvement) ~ z dans [zl] de thazla (vitesse, mouvement accéléré);
2) k dans [kl] de akli (esclave, boucher) ~ z dans [zl] de zlu (égorger).
Le mot d'kir (aimant) en kabyle dans ce cas serait dzir (et gzir aussi);
azal (midi solaire) serait aussi akal ?

Zitouna
Maintenant passons aux choses ô combien intéressantes. On va sur ce blog tout ce qui est en rapport au "coing, cognassier" (voir post "macedonia") et que, notamment, le rapprochement :
KTN (ou CTN?) en kabyle  pour tha-kthunya (coing, cognassier) =
KDN en grec pour Kidhonia (coing, cognassier) - aussi toponyme en Crète (Kidhonia) voir même dans le mot Makedhonia (Macédoine)- =
CDN en latin pour Cydonia (coing, cognassier).

(Pour info "coing" est dit sferdjel en arabe; les sémitiques sont donc loin.)
Avec la formule k ~ z on voit ceci:
KTN, KDN ou CTN de kthunya/kidhoni/cydonia devient ZTN...comme dans zeytoune, zitoune (olivier, olive) en sémitique arabe. En clair la racine qui désigne le Coing en kabyle, en grec et en latin désigne...l'Olivier en arabe; 'sont particuliers quand même ces camarades !
C'est peut-être là une preuve que les sémitiques, l'arabe surtout, ont aidé à altérer le k en z (le k en s pour le latin) dans le kabyle; donc en kabyle il serait préférable de revenir au k comme en grec (le mot k'thunya = coing attesterait la vraie prononciation à l'origine) pour se défaire de l'influence latine et surtout sémite arabe sur la langue kabyle et mazigh. Exemple: a-zemmur (Zemmour) "olive, olivier" serait-il à l'origine a-kemmur ?
Zitouna (1, 2) symbolise surtout Thunes (la Tunisie). Par contre si l'on prend les patronymes sémites arbes y afférants, à savoir Zeytoune pour les levantins ou Zitouni pour les "arabes" nord-africains on se demande comment les traduire en kabyle:
1) sur la forme Zeytoune, Zitouni en rabe = K'thunya en kabyle, Cydonien en romanes et Kidhoni..(macédonien?) en grec.
2) sur le fond Zitouni en arabe = Zemmour (Olivier) en kabyle.
L'Espagne pour les raisons que l'on connaît a rassemble toutes ces variantes dans sa langue, ses toponymes et patronymes: Zamora (de Zemmour "oliver" mazigh), Aceituno (de Zeytoune "olive" arabe). 
Il reste que je ne comprends toujours pas pourquoi les camarades sémites arabes ont pris le cognassier pour un olivier...