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Il paraît que le président maure est malade (l'Algérie, qui sombre dans l'arabo-islamisme, ne l'est pas moins !). Lit de mort, lit de maure... L'on dit qu'il préparerait à passer la main à son héritier, issu de sa famille ou de son sérail "révolutionnaire" (ceux qui ont accouru au secours de la victoire en 1962)...tout ça dans une République ! En bons kabyles, on ne va pas céder à l'obscénité et s'abaisser à la vulgarité et aux insultes contre la personne, de ce monsieur le président DZ en l'occurence, on va simplement recourir aux métaphores en lieu et place d'un pamphlet incendiaire. "Le malade imaginaire" ou autre chose ? Pasticher celui qu'on apprécie est probablement plus juste, donc je me suis permis de parodier Jean de la Fontaine pour faire ma fable-pastiche sur les faux-pères et les faux-fils de la fausse-nation.
Potiche sur le lit de maure
ou
Le maure’audeur et ses fréros
Travailler ? Non, pas la peine !
C'est, au fond, ce qui nous manque le moins.
Un riche maraudeur, sentant sa mort prochaine
Fit venir ses larbins, leur parla sans témoins
"Gardez-vous", leur dit-il, "de vendre la rente
Que nous a laissé la Révolution:
Un trésor est caché dedans.
Je ne sais pas l'endroit, mais des coopérants de passage
Vous le feront trouver; vous en viendrez à bout
Faites remuer le sable dès que j’aurais fait ouste:
"Prospectez, sondez, forez; ne laissez nulle place
Où la pompe ne passe et repasse."
Le faux-père mort, les faux-fils vous retournent le désert,
Deçà (Hassi Rmel), delà (Hassi Messaoud), partout (Sahara):
Si bien, qu'au bout de l'an, il en rapporta davantage.
D'argent, point de caché : que de l’or noir.
Le faux-père fut sage
De leur montrer, avant sa mort,
Que le pétrole est un trésor : le miracle de la Révolution !