LA VICTOIRE
1ère partie: Alpha Les grecs ont emprunté l'alphabet aux phéniciens, ceux-là même que les romains ne désignaient que par le terme puniques (nord-africains). La mythologie grecque nous dit que c'est Cadmos le fils d'Agénor et de Telephassa qui leur avait apporté l'alphabet. Aujourd'hui Alpha va être libéré et mieux compris !
Source (eaux) - Hydre
Comme en grec, cette relation "hydre-eau" est nette en kabyle tant dans le lexique qu'en mythologie. C'est thalla (source, fontaine), c'est thallaphssa (hydre) - terme qui aurait sans doute emprunté par les grecs pour Tallassa "la mer" - ou sous la forme abrégée laphaa, (altéré en lafaâ). Chez les sémites, à fortiori chez les arabes, cette relation n'existe pas, ni dans les mythes (ou religions), ni dans leur lexique. Aleph
Le terme aleph ou alpha existe dans toutes les sémitiques, il y est en grec, il y est en kabyle aussi. Aleph en kabyle, tout comme en sémitiques, signifie aussi Mille (1000). Libra
Le signe du zodiaque "balance" jadis en latin Libra. C'était aussi une unité de poids Libra, que l'on retrouve même de nos jours : une livre ou le pound des anglais. C'est aussi une unité monétaire: Livre sterling ou le pound chez les anglais. Kilo
Le terme kilo (pour kilogramme) est venu du grec khilioi, terme étrangement proche du kabyle xilla ou khilla pour "grosse quantité, beaucoup" (synonyme: adTas). Kilo ou Khilioi est donc 1000 grammes, c'est Mille d'abord. Hydre de Lerne
Alpha, Libra e Kilo ne feraient qu'un en réalité. Alpha = Libra = Hydre. C'est à dire que la lettre Alpha c'est notre hydre Lapha, forme abrégée de Thallaphsa, avec la valeur numérique de 1000 et une livre (pound, kilo) pour les masses. C'est à dire que la Balance ou Libra c'est l'Hydre, Lapha, Thallaphsa. Je suis allé sur Google et c'est avec une grande satisfaction que je constate qu'en partie il y a des gens, que je ne connais pas et n'ai pas lu, partagent ce constat: Balance ou Hydre de Lerne. C'est quand même encourageant de ne pas se savoir seul... Calife
Là sur le champ nous pouvons affirmer que devant le L se cacherait un X (kh), chose vérifiable pour trois langues différentes: le kabyle (berbère), le grec et l'arabe (sémitiques). aleph ~ xaleph En kabyle ixulaph, ikulaf désigne tout ce qui repoussse, regénère (en botanique par exemple); en sémitique-arabe khalif (calife) a un sens autre et plus strict: 1. "remplaçant" , 2. khelf pour "derrière". Cette faille nous permettra de mettre à mal leur idéologie dominante... Mais déjà, là sur le champ, nous avons déduit que le Aleph ou Alpha serait punique (nord-africain) avant d'être sémitique (orient): la preuve par l'hydre et la balance.