Avertissement:
Je n'ai pas les compétences requises en linguistique (c'est un rappel!) mais si j'ai bien compris le W libyque est considéré comme une semi-voyelle, ou semi-consonne alors ça pose problème pafois de savoir quand le W est un W et quand est-il un U. D'autre part la mutation ou transformation du W en son b (b latin/français comme dans bierre) chez les hommes et en son p (P latin/français, comme dans poupée) chez les femmes. Comme le verbe sebw = préparer, cuisiner. Le grec non plus n'a pas de son bé (le béta grec est un Vé) alors pour marquer ce son les grecs utilisent le diagraphe"mp" = son bé. Pour le reste ce post révelera beaucoup de choses intéressantes et je sens que le W libyque nous apportera des révélations abracadabrantes. D'abord regardez comment s'écrit la lettre W en libyque (aujourd'hui transcrite par l'académie berbère en U)...
Lexique utilisé:
Vocabulaire kabyle attesté et dont je suis sûr + les mots suivants que j'ai pris du glossaire Tawalt 1999 de K.Sakhi (merci!): asiwan, awarus, tawedtzit. Les mots précédés du signe d'interrogation (?) là oû je ne suis pas sûr que le W est présent en W ou en U ou pas du tout!
ibwa, ipwa(verbe Sepw/Sebw) = cuit, prêt, préparé, apprêté, mûr, achevé, complet, fini, ultime, arrivé à bout, disposé à, au seuil de, etc... Pour info, il y a un autre verbe qui en découle: shweDH (dh emphatique) qui signifie brulé, échaudé; le sh est moindre que le s, donc c'est l'avant-terme, avant-fin. ex.theshweDH thassa (le foie brule) signifie une émotion très vive (failli creuver), généralement à propos d'un être très proche.
?aqerwi = unité de mesure en forme cônique (entonnoir) = demi-décalitre?
? adhghwer = tétard, sang-sue
? Ithvwir, athvir = pigeon, colombe
! swa-swa = exact, identique, égal, le compte y est. Littér. signifie celui-ci = celui-là. Ce n'est pas un emprunt au sémite-arabe yusawi = égal/équivalent; la forme de répétition de syllabe est propre à la phonétique berbère, phénomère à ma connaissance inexistant en arabe et d'ailleurs les arabes orientaux ne connaitraient pas le sens de "swa-swa".
? akwuval = maïs
? wisen = litt. "qui sait", peut-être
abwubwul (abelbul, apupul) = gros, gros bedon, boulot
abwuH! (apwuH!) = interjection exprimant le désespoir: à moi! au secours! Oh mon Dieu!
abwush (thabwushth, thibwushin) = verge (sein et buste)
aferaw/ifer (plur. afrewaen, iferawen) = feuille, aile
ageswah = drôle de type, original, excentrique
agraw = peuple, assemblée, rassemblement, forum
agwulim = peau. membrane?
ahelwiDH = bouillie
Ahvwul (thahvult, thahvwlt) ? = boulette, morceau rond, galette ronde,ex. morceau de savon
akniw (akniwen) = jumeau(x)
amHethwi (syn.: waHruhu) = remue-ménage, culbutes
anbwul (thanbwult) = vessie, bulle
aqelwash (syn. ahuli, aghadh) = bouc
aqeshwal ? (aqeshual) = hotte
arew (tharwa) = mettre au monde, progéniture
arwel = fuir
arwi = remuer
arwo (rewpu) = se rassasier
asawen = crête, pente
ashebwuv* (emprunt au français cheveux?)= cheveu
ashwari * (arabe?) = double panier porté par l'âne/mulet
asiwan = milan, buse
awal = parole, mot
awarus ? = trou, gouffre
awaziw (thawiza) = volontaire
awdhay (a udhay?) = lâche
awDHesh (thawDHeshth) = caillou, galet, casse-noisettes
aweDH (agwaDH, tsawDHen) = arriver à, atteindre, toucher à, provoquer
awedT (plur. thiwedTin) = poux
awedTuf (sing.fém. thawedTufth) = fourmis (fourmi)
awelaq (syn. aqelay) = testicule
aweqas (aokas) = requin, fauve?: prédateur!
awi = apporte; awid lit.apporte-ici = rapporte
awles = glande, ganglion, adenite, furoncle, inflammation
awnes (thawiza) = volontaire (volontariat)
awragh = jaune, or
awren = farine, semoule (voir aussi smidh = semoule de blé, blé)
awrir (thawrirth) = butte, coline
awthul = lapin, lièvre
azwaw (agawaw) = ancien nom des kabyles
bbi (wbi) = trancher (un morceau), pincer (pinçades)
bwerez ou wberez (voir thawenza) = taper du front, affronter
daw (s'daw) = sous, dessous
eweth (thiytha, kathen, ambwathi) = battre, atteindre, frapper
Ghewes: s'élancer sur qlq'1, s'abbatre sur, piquer sur sa proie (pour l'oiseau-prédateur)
ghiwel = se presser/dépêcher/grouiller
haweth (hiweth) = supplier qlq'1
idew= geugnon, adj."agile", singe
iHwayi= vouloir (volonté?)
ishew = corne
iviw (ivawen) = fève(s)
kaw (ikaw, kawen) = sécher, sec
mpiwel (rel.: ghiwel?) = bouger, se débrouiller, démarrer
ndTew (nedTwen, andTaw) = sauter, bondir, rebondir
qewqaw = bégue
senshew = deplumer
serweth = battre (le blé), troubler
sew (seu)? swan, swigh = boire
sh'wi = heureusement
shwidT (shidT) =un peu
si-wa = sauf, hormis, excepté
siweDH = faire parvenir, ramener (au bout)
siwel (awal) = appeler
s'tsawil = lentement, doucement
suwb = descendre
swadh (su-adh) ? = montrer du doigt
thabwurth = la porte
thafawets (pl. thifawthin) = pièce de raccommodage/ravaudage
thaghawsa = chose, cause
thagrawla = la révolution
thasbwalt (ashwval)? = jarre, amphore
thavlawt * (apparement de s'vlaa = avaler, belaâ arabe) =gourde
thawaghith = malheur
thawarashth (thawresht - awren) = boulette (de semoule), motte (de beurre)
thawashult = la famille
thawedTzith = rotule
thaweka = ver (de fruit), chenille
thawenza (voir bwerez) = le front, destin
thawla = la fièvre (w indique élévation de température)
thawserth = la vieillesse
thaylewth (thiluwth) = outre d'eau, parfois vessie, vésicule.
thazwara (zwir) = en premier, priorité
thifeghwa = les artichauts
thilawin = les femmes
thiwarmin ou thiwermin = les angines
thiwedTin (awedT) = les poux
wa, wagi, win, widhek = tel, celui-ci, celui, ceux
waghzen = ogre, cyclope
wal'i (tswaligh) = vois! regarde! (je vois)
wanes = accompagner
waqil ? = probablement, peut-être
weltma (gma) = (ma) soeur
wezil (uzil) ? = petit, court, de petite taille
wul (ul?) = coeur
ziwesh ? = moineau
zwaR (voir ibwid imanes) = exceller, être compétent, performant, meilleur, parmi les premiers
zwi = secouer, retourner sens dessus-dessous
Réflexions:
Très "préoccupant" le W libyque mais ô combien intéressant: c'est le déclic! Bientôt on verra plus clair, le Créateur nous aidera! Quelle utilisation et comment exploiter ces infos pour synthétiser des verbes, noms communs modernes? Tenez, pneu doit absolument comporter un W...Sinon c'est aux spécialistes de s'en occuper, oui franchement! Le terme iviw/ivawen = fève (s) est un vernaculaire et n'est pas un emprunt au latin faba: je suis sûr de l'inverse! Autre conclusion, la racine wedT (t emphatique) désignerait insecte...alors quand on parle à un berbère de waTan (t emphatique) qui signifie pays en arabe, sans oublier qu'en berbère adTan = maladie, mal, il n'y a pas de quoi s'étonner de sa réaction! La lettre libyque W serait apparement l'équivalent du P (pé) grec compte tenu de certaines comparaisons; le W libyque devrait être prononcé P et non B (bé) lors de ses mutations (ex.ipwa). Il est probable que ce soit parfois la même chose pour le passage au latin:wedT (pou) ressemble étrangement au latin pedus (pou). Il y a "pire" encore: ul ou wl/wul, coeur en berbère, est tellement devinable dans le puls latin = pouls (du coeur! cor en latin), pas de raccourci mais quelle pulsation!!!. A propos on devrait écrire wul et je crois que la forme ur (en rifain notamment, voir post "le cercle R") est valable par sa forme tandis que la forme wul (en kabyle notamment) est valable sur le fond. Pendant qu'on y est voici un autre rapprochement (il faut savoir que les labio-dentales spirantes F et V se confondent souvent): vpr de vapeur du latin vapor et fwr du mot kavyle fwur (ex. ifwur seksu) désignent la même chose, vapeur/évaporer. Ensuite Il doit y avoir 7 voyelles mes amis, remercions les Tamasheq de nous l'avoir rappelé. Le chiffre de la lettre libyque W est soit le premier (iwen, yiwen = 1) du début d'un cycle ou celui de la fin d'un cycle: le 7 devrait contenir S + wdh/ou wDH/ou wth, donc le Sa actuel serait un diminutif?, je tablerai sur sewth pour désigner sept ou/et samedi. Ainsi de suite et etcetera, etc...
Le W libyque signifie (la liste n’est pas exhaustive): volume, gabarit?, volonté, volumineux, enflement, augmenté, distend, grossi, bossu, arrondi-saillant ou creux, distendu, gonflé, rempli, rassasié, plein, complet, mûr, cuit, prêt, apprêté, achevé, terminé, fini, bout, but, atteint, seuil, frontière, borne, à portée, portée, protubérance, inflation, regénéré, fin et recommencement, naissance et renaissance, résurrection!
Egalité
Par le pur des hasards (?!) la lettre libyque W est = le signe d’égalité en maths... L’expression swa-swa montre plutôt l’exactitude, précision. Le S ici joue le rôle de iso (grec) = égal.
Front - Boule
Le terme Lobe vient du grec lobos = partie arrondie et saillante d’un organe. En slave/russe ce mot lob’ [lop], probablement emprunté au grec, signifie front. En kabyle le front est 1. anyir ou 2. thawenza qui désigne aussi destinée. Pour «le coup de boule» le verbe kabyle bwerez doit être élargi/utilisé au sens du verbe affronter.
Buste et Bosse: bosse vient du latin botta = frapper...tiens, tiens! eweth/ebweth qlq’un et il va prendre une bosse, se gonfler! Une bosse est une élévation d’une surface ou d’une partie du corps. Exemple: awrir ou thawrirt = butte, petite colline. Le terme pour désigner la bosse masculine, la verge abwush au féminin thabwushth qui désigne la bosse féminine le sein mais en réalité thabwushth signifierait buste!
Bout-boulette
Ces termes sont là vous n’avez qu’à voir le lexique (ex.thawaresht). Pour info le terme boule vient du latin bulla = sphère creuse, le mot awarus = trou/gouffre s’y prête. Il nous sera facile de synthétiser les noms équivalents à botte, bouteille, boutique, etc...
Bourse et Pretoria
Bourse provient via le bàs latin bursa du grec vursa = cuir apprêté, outre, jetez un coup d’oeil sur le lexique plus haut : cuir/apprêté/outre s’y trouvent...Maintenant je me pose une autre question à propos du verbe kabyle Swuther = emprunter ; peut-on déduire que le mot perdu/inexistant wuth = prêt, crédit, solde ? Comment apeller un préteur, un prétorien (magistrat)? Et un soldat (it. soldare payer un solde, it.soldo = sou) comme quoi le terme kabyle que l'on retrouve aussi dans les dialectes nord-africains (swared, lâaT, yemahum), Swurdi/asurdi (pl. iSwurdiyen/isordiyen) = argent n'a rien, comme certains le pensent, d'un emprunt au sémité/arabe (en arabe l'argent = mal, amwal)...Vous en voulez encore? Swar signifie gagner (en travaillant) comme dans sewred aghrom'ik = gagne ton pain. Pour les "ignorants": en sémite/arabe: sawer = image/imaginer/photographier, excellent = mumtaz, gagner = rabeh, intadj, soldat = djundi. Ce verbe Swar est proche phonétiquement de Zwar = exceller, être compétitif, perséverer pour être le meilleur (voir lexique plus haut). Alors?
Cygne
Ce mot en français est arrivé via le latin cycnus du grec kiknos ; en russe («le lac des cygnes!» de Tchaïkovsky) on dit lébéd’; en sémite/arabe c’est sadr(?); en anglais – swan, allemand – schvan et chez les scandinaves – svan. Moi ce qui m’amuse c’est le terme berbère chleuh siwan/asiwan qui désigne le milan/oiseau de proie tellement il est proche de swan/ «cygne». On reviendra un jour sur «l’étymologie-géométrique»(!) de ce mot que certains lient à Siwa, l’oasis berbère en Egypte occidentale.
Seuil et Porte: oui, on n'oublie pas de nous interpeller pour nous dire que le terme kabyle pour désigner la porte thapwurth/ou thapburth/ou thawurth est un emprunt (donc mot isolé) au français, même pas latin! (tiens le sémite/arabe, avec bab = porte, est "hors d'état de nuire"!, pour une fois! on dit merci!). Alors voyons de plus près. Porte vient du latin porta, comparons avec thapwurth (sans les affixes féminins: pwur). uR est convexe, il indique la rondeur (voir post "le cercle R") et le W je vous en parle dans ce post. Oui, pwur est proche de port qui marque le seuil. Je rapelle: awi/apwi = porter, awid = rapporter et bib = porter sur le dos devrait s'écrire bwibw ou proche et devrait signifier supporter. On peut facilement faire renaître ou synthétiser si vous voulez les équivalents kabyles (berbères) des mots qui découlent: port, portique, portée (distance), portatif, portable, passeport, portuaire, apport, rapport, etc...Exemples: 1.Portion du latin portio = amwur, on le connaît déjà! 2. Le mot qui désigne portillon en kabyle est thiseghlith (sans annexes féminins: seghli) aurait une autre signification, on verra plus tard laquelle. Alors la variante de a-mwur au féminin thamurth ici transcrite thamwurt est un mot générique: pays, patrie, campagne, parcelle de terrain, le mot proche urthi/uwrthi signifie verger, jardin. Si vous voulez on peut essayer de voir le sens thamwurth = patrie: le M libyque étant idem au para grec (à côté) notre thamwurth /tha-mpurt/indiquerait terre/sol à côté du port (maritime?), borne, frontière...alors nos ancêtres étaient-ils des insulaires? Bon, maintenant voyons le mot seuil: il vient du latin solum = sol avec influence de solea = plante du pied (toujours selon Larousse), pas de relation avec porta. Le seuil est en fait, à l'entrée d'une maison, une pièce -dalle- de bois ou de pierre, une pièce qui dépasse le sol horizontal (donc élément saillant, bossu): le mot pwur indiquerait un seuil convexe et par extension la porte d'entrée. Alors qui a emprunté à qui, hein?
7 hepta
Le chiffre sept (iepta ou hepta en grec) est très symbolique, chacun l’utilise à sa façon, jettez un coup d’oeil là et vous verrez: http://pagesperso-orange.fr/yoda.guillaume/Culture/Sept.htm. Nous ce qui nous intéresse c’est le verbe Sepw (ou Sebw, je prendrai la version féminine de nos mères gardiennes de notre langue Sepw avec p). Regardez sa signification (vocabulaire). Il signifie utlime, fini, bout, etc...ou simplement il pourrait symboliser le dernier jour de la semaine, mot français qui vient du latin éccles.septimana de septimanus relatif à sept, idem dans le sémite/arabe usbuû/semaine relatif à sept seb'â . Donc sept, le 7ème jour, samedi (fr.), sabatto (it.), sebt (arabe/hébreu) et shabat (repos en hébreu?), ces deux derniers seraient proches du sens shiva = repos/s'assoir?en hindou (à vérifier). La racine SB ou SV/SW est commmune à plusieurs langues. Maintenant je vous propose de prendre le verbe Sepw, de voir ses équivalents en langues romanes (monde latin, catholique) et sémites (arabe et musulmans, hébreu et juifs). Exemple en arabe son équivalent est tayeb?, tabakh, etc...Je vous le dis que ce verbe est d’une puissance ! Mais surtout c’est le chiffre 7 la clé de l’énigme, le chiffre qui nous permettra d’en finir avec les fausses «vérités» et l’usurpation. Bientôt le Créateur ordonnera «bàs les masques» à ceux qui n’ont cessé des millénaires durant de tuer le Peuple et le noyer dans le mensonge et l’usurpation.
Prêtre
Ce mot qui signifie ce que vous savez, entre autre ministre d’un culte, vient via le latin presbyter du grec prestbuteros [presvuteros] = vieillard. Vieillard (très vieux!) est en berbère awsir. Petit rappel : vieux en grec est ghéros, en kabyle amghar. Donc le vieillard est awsir. Il est temps de jeter un coup d’oeil du côté de Siwa, de l’Egypte. On nous dit que le mot ministre parvenu via l’arabe wazir proviendrait du persan vizir/wasir, et les perses ils l’ont pris oû avant d’envahir l’Egypte? C’est comment un vieillard en perse, hein? Mais l’intérêt n’est pas là. Moi ce qui m’interesse c’est : 1. Que diable savait Apulée pour se vouer au culte d’Isis et adorer Oziris plus ardemment que les autres simplement emportés par la mode "people" de l’époque? ; 2. Le terme kabyle Zemni de amghar azemni = «le vieux sage» qui désignerait sans doute «prêtre» de la communauté au sens d’antan d’avant JC et les religions monothéistes; aZemni ne serait-il pas etymologiquement en relation avec zmen (antan) du supposé mot sémite zaman (antan, il y a longtemps) sauf qu’en arabe a) le temps se dit waqt, b) zmn ou smn dans les mots arabes que je connaîs sont tout sauf en relation avec le temps alors zaman ZMN serait-il une déformation de semaine septimana SptMN (à vérifier bien sûr), c) qu’en kabyle/berbère l’un des sens de Z est en relation avec le temps. Très prochainement j’espère pouvoir comprendre, avec l’aide du Créateur, cette énigme et la partager avec vous. Patience, la Vérité n’est pas loin. Il y a des choses assez troublantes que je n'ose pas dévoiler avant d'en saisir le sens et les vérifier...mais ça viendra. Patience!
La lettre libyque W à l'avant (lèvres) est une "double semi-consonne" (bilabiale-occlusive mixte) c'est à dire à la fois P pé (féminin) et B bé (masculin) que l'on pourrait transcrire pW et pW ou simplement W = p ou b. Je trouve géniale cette lettre!!! D'autre part à l'arrière W exerce comme voyelle, il est clair que c'est un U.
En analysant le W libyque je tiens à dire que je n'ai d'autre but que la Vérité, d'autre moyens que ma sincérité, d'aide que du Créateur qui nous aidera à vaincre l'oisiveté et la paresse intellectuelle, le mensonge et l'usurpation. 15-17 avril 2008. H.Y. fils de Mohand Arezki.
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