A l'origine des écritures et de la civilisation un monstre...
La racine kabyle [kl] d'Akli va nous apporter des éléments de réponse quant à l'origine des...langues ! Pour comprendre ce qui va suivre il faut impérativement avoir suivi la série de billets consacrés à cette racine depuis le post "Fardée méca,ique" (cliquez sur le libellé correspondant ou tapez akli dans le moteur de recherche en haut à droite de la page).
Notons que akli pourrait se transcrire autrement : akli (agli, voir agri) et un D à la fin : aklid (agelid, agerid ?). La relation Akli - Clef (klidhi en grec) est établie, idem pour source - clef, loqiquement la relation Akli - Clef - Source (fontaine, Thalla kabyle) est établie.
La roue d'Akli
La racine [kl] indique le mouvement ininterrompue, la marche; le mouvement d'une pendule serait le plus approprié pour cette racine. Via le mot thi-kel-t (une fois) = volta/vuelta en romanes (tour) nous avons compris la forme de [kl].Le terme kabyle shekel (bloquer) indique carrément "arrêter" (s) le "mouvement" (kl) ou mettre le bâton dans les roues : il expliquerait, on ne peut mieux, le mot "échec". La notion de mouvement d'une roue (un tour) en kabyle serait donc portée par la racine -kl- ou ses dérivées (ex. -gr- de geruj/kerush = kelush/kahlush/akli) dont voici une toute fraîche :
KL ~ WL
Nous allons voir que cette racine WL (=KL) atteste justement le sens de roue, la parole nous aidera à le démontrer. Y a qu'à voir le mot thagrawla (révolution) avec -gr- et -wl- indiquant doublement le tour.
Akli le Slave
Là nous allons démontrer la vraie étymologie du mot Slave et c'est tout bénéf pour les rouskoffs comme pour les kabs ! Grosso modo, l'étymologie populaire du mot Slave nous renvoie à 1) la version occidentale qui dit que Slave viendrait d'esclave (en anglais slave = un esclave, un Slave); 2) la version russe qui lierait le mot Slave à slovo (parole, mot). On retiendra justement ces deux indices : esclave + parole, soit en kabyle akli + awal ou les racines KL + WL qui sont quasi-identiques donc qui expliquerait le lien entre "esclave" et "parole" même ailleurs (Slave par exemple). Le mot slave lui-même explique tout suivant sa transcription avec un s, un c ou un k :
SLV slave
CLV ou CLF : clave
KLV ou KLF: klave
La relation avec Clef crève les yeux, c'est donc la même chose que pour Akli en kabyle ! Au final, faut être un kab pour mieux comprendre pourquoi cette confusion qui lie Slave à esclave. Voilà que tout s'explique !
La parole d'Akli
Nous allons nous intéresser à une notion de temps :
KL en kabyle est en relation avec le notion de temps (thikelt, etc...).
Pendant en français de "pendre" (notion de pendule, KL kabyle)
While en anglais (wheel est une roue en anglais).
awal en kabyle est la parole.
On peut supposer que la parole ait un lien avec la roue ou le mouvement de la roue.
La table d'Akli
Nous allons prendre le même verbe pendre en français :
Dépendant, indépendant sont issus de le même racine que "pendre" (pendule KL).
En russe, c'est exactement la même chose. Ce qui explique pourquoi, kabylement parlant, la racine KL du pendule est la même que celle de l'esclave (akli).
staqel (acquérir son indépendance) en arabe ne serait pas un vernaculaire car ils n'ont pas cette racine KL/QL/WL de mouvement ni la mythologie correspondante (Akli kabyle = Ptah égyptien = Hephaistos grec...).
staqel, à consonance arabe, est utilisé en kabyle. Eh bien ce staqel serait probablement apparenté à stable en romanes. Autrement dit, un être dépendant (Akli) est instable (racine KL du mouvement de pendule), et l'indépendant = le stable. Une métaphore s'impose : akli le dépendant (esclave qu'il est) et donc instable (d'où hephaistos/akli "le boîteux" Claude !) est associé à 3 ou à une table à 3 pieds; à l'opposé, l'indépendant (libre, noble) donc le stable serait une table stable à 4 pieds au moins, un Trapèze forcément et nous allons voir pourquoi un peu plus bas...
Akli le vilain
La racine -kl- d'Akli est dans kelex (duper, tromper). Vu de la relation entre notre racine KL et BL ou VL en latin et langues européennes, il n'est pas exclu que akli ou les iklen (esclaves, Maures, Égyptiens, Slaves) soient simplement des vilains, c'est à dire des paysans travaillant la terre (akal). Cette hypothèse sera étudiée ultérieurement pour confirmation ou infirmation.
La banque kabyle
Les grecs nous ont emprunté le mot thalassa (la mer en grec), c'est du 100% sûr. En kabyle, thalla (source, fontaine) est habité par Thallaphsa/Thallafsa/Thallavsa? (hydre) ou par abbréviation laphaa (hydre, vipère, reptile). Si ce dernier terme laphaa est emprunté par les arabes al-1afa3 pour "vipère" (de vipère on traite les femmes pour leur langue très longue, et ce n'est pas pour rien comme nous allons le voir plus loin !), e mot kabyle (et "berbère") thallaphsa (hydre) a été transformé par les grecs en tallassa, le treme grec étant hydre. Et pourtant les grecs ont gardé notre thallaphsa ailleurs :
- Dans leurs mythologie : Téléphassa mère de Cadmos qui a apporté l'alphabet "phénicien" aux grecs, Téléphassa ou disons-le en kabyle Thallaphsa, fille de Agénor fils de Posedion (Anzar pour nous) et de Libye. Après ça, on me dira que "phénicien" nous renvoie à l'Orient sémite et non aux Puniques occidentaux ? Allez, basta ! on est fatigué par les mensonges officiels !
- Dans leur lexique : Thallaphsa (TLPS ou TLPZ) kabyle ("berbère" ou libyco-punique probablement) aurait subi une altération classqiue du L en R pour donner en grec Trapeza, le trapèze qui comme on l'a vu au paragraphe précédent est lié à Akli lui-même lié à la source Thalla (voir haut de la page).
* Trapeza en grec (thallaphsa en kabyle), en rapport à la tablle, a été emprunté par le russe pour signifier "festin", c'est à dire mekli (repas de midi, déjeûner) en kabyle avec toujours la racine KL, remarquez bien.
* Trapeza en grec (thallaphsa en kabyle) en grec signifie Banque (trapeza grec en rapport à la table, banca en latin en rapport au banc) : en kabyle nous devons désigner les termes Table et Banque par Thallaphsa ou Thalla ou par leurs dérivés. La Table de Jugurtha de Salluste (on l'a déjà étudié sur ce blog), sans doute une allusion au trésor du chef Numide, serait plutôt Le Trapèze de Jugurtha, probablement le Trésor ou la Banque de Jugurtha soit en kabyle ("berbère") Thalla N Jugurthen ou Thallaphsa N Jugurthen.
Alfa kabyle
Les camarades sémites revendiquent la paternité d'à peu près tout ce qui existe sans en apporter des preuves. Aleph (mille) en kabyle emprunté au sémitiques ? Ce sont eux qui le disent.
Alpha = Hydre (Thallaphsa)
Alfa ou Aleph est dans Thallaphsa (hydre).
Alpha serait simplement Poly en latin ou Polloi grec pour "plusieurs".
Hydre à plusieurs têtes car c'est Thallaphsa, et pas besoin de mu3djizat arabes ou de kabbale hébraïque pour explique ceci. Aleph de Thallphsa (hydre) à plusieurs têtes pouvant régénérer, une mille-pattes serait aussi qlq part une thallaphsa :)
J'espère que les camarades sémites vont se calmer après cette démonstration :)
NB : alpha pourrait se transcrire autrement wleph ou kalph avec la racine de source, clé, akli, etc...A vérifier ultérieurement.
La civilisation Thallaphsa
Nous aussi avons emprunté hydre des grecs. Comment dit-on "que s'est-il passé ?" ici et la ?
wash sra en argot "arabe" algérois
(SR de saruts "clef" : en russe idem relation entre "clef" et "événement qui se passe, cas, hasard").
madha hadeth (2) ? en sémitique arabe
ashu y idhran (1) ? en kabyle
* hedher en kabyle (être présent/témoin) comme en arabe hadher (1) (présent), les deux seraient liés au grec hydhre.
- En arabe hadith (2) signifie verset...verseau en kabyle et tamacheq (N.GH.L) c'est lié à verseau = ange (mot introduit en grec puis en latin par notre cher Apulée) : on comprend mieux d'où vient leur croyance sur les anges qui lisaient des versets !
- En sémitiques, notamment en arabe, haditha (2) signifie aussi moderne, nouvelle comme HDST de Carthage = qrt.hsdt = ville.nouvelle. Il y a ici aussi peut-être une liaison avec Hydre (2), alors qu'en kabyle Nouveau/Moderne est dit Nulphu (L.PH d'alfa) visiblement lié à l'hydre aussi mais la nôtre Thallaphsa. Il est clair que Thallaphsa ou la mythique Télephassa n'est pas sémitique mais bien de chez nous !
- En arabe le terme hadhara (1) signfie civilisation, la racine du terme lié pertinemment à Hydre (2). Par un simple calque on peut déduire qu'en kabyle ("berbère" en général) Thallaphsa (hydre) serait synonyme de "Présent", "Moderne/Nouveau" et CIVILISATION.
- En arabe langue (anatomie) se dit lisan, en kabyle c'est iles. Eh bien ce mot kabyle ilse/yles devrait se transcrire ilephs/ylefs car lié à l'hydre Thallaphsa, vous comprenez pourquoi chez nous on traite les femmes, d'office trop bavardes, de laphaa (vipère) diminutif de thallaphsa (hydre) !
La mythique Téléphassa, mère de Cadmos qui a apporté les écritures aux hommes, grecs en l'occurrence, serait simplement Thallaphsa.
Cadmos est né de Thallaphsa, autrement dit : Les écritures (alphabet) sont nées de la civilisation.
Au commencement était la Parole.
A la source "Thalla" était la Parole "Awal" (awalph? = alpha ?)
A l'origine des écritures et de la civilisation il y avait un monstre, l'hydre "Thallaphsa".
Thallaphsa qui a donné chez les grecs et Thallassa (la mer) et la princesse Téléphassa mère d'Europe. C'est la preuve que le berceau de la civilisation et des écritures (alphabet) dont il est question était bien en Méditerrannée Occidentale sur les rives puniques !
Après tout ça de lu, malheur à tout kabyle qui prêterait l'oreille aux vrais monstres, ceux qui jurent par le mal et les forces du mal absolu décidés à nous anéantir, nous et notre véritable identité.
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mardi 30 avril 2013
samedi 27 avril 2013
Claude le Maure
Personne n'est parfait, même le dieu de la foudre...
La clé d'Akli
On a précédemment signalé le rapport que devrait avoir akli avec la notion de "clé" (ou "ouvrir") comme Ptah (celui qui ouvre) et surtout que thalla (source, fontaine) est en relation avec 'ldi,
'li (ouvrir) en kabyle et que la relation "source - clé" est attestée ailleurs (grec : kleis/klidhi, slaves : kluch).
- [kl] de akli en kabyle a donné une racine allongée en argot "arabe" algérois : [khl] de kahlouche (nègre).
- Une racine semblable [khl] existe en sémitique arabe pour kahil = cheville.
- Cheville justement provient en latin de la même racine que clé, clou, clavier, enclave, etc...
Il nous reste donc à déterminer ce mot "clé" en kabyle (synonyme SR de tha-saru-ts) avec la racine kl d'Akli. Ex.: on ne peut pas exclure que akli soit en réalité avec un -d- à la fin : aklid/agelid.
Le chêne d'Akli
Notre mythologie et contes populaires contiennent "le chêne de l'ogre", après tout waghzen et akli sont tous les deux des ogres/monstres !
Là nous allons vérifier si l'altération classique L-R n'est pas dans akli.
[kl] ~ [gr]
(k et g aspirés)
akarrush = chêne (proche de quercus en latin)
agarruj = trésor
akarrush et agarruj sont probablement identiques : le Trésor est identifié au Chêne.
Si on utilise l'altération L-R ou R-L on aura :
akarrush (chêne) = akalush (ou kahlouche) = akli (maure, nègre).
Donc akli est lié au Trésor et surtout au Chêne...
Conclusion très pesante surtout pour la toponymie :
Par exemple, tha-gemun-t u' karrush (Chênaie) pourrait être tha-gemun-t u'garruj (lien avec "Trésor") ou bien tha-gemun-t u'kahlush (lien avc Akli "le nègre" ou "le Maure").
En France, le massif des Maures serait non pas lié aux sarassins mais à la couleur "Noire", et suivant la logique kabyle (et méditerranéenne voir universelle), au Chêne voir au Bois, ex. Bois noir (lieu obscur et effrayant comme dans notre conte du chêne de l'ogre). Notre logique va se confirmer avec un autre toponyme en France : le Doubs qui signifierait Noir(e) en gaulois (celte). En Kabyle je suppose que Doubs n'est pa seulement Noir mais, comme chez nous Akli (Maure), doit avoir une relation avec le Chêne. Eh bien cette relation existe car Dub [doube] dans les langues slaves signifie justement Chêne !!!
C'est pas terminé ! Pour l'anecdote, en russe Doube (chêne) a donné Doubina = gourdin, massue qu'en kabyle nous appellons a-dhebbuz (debouze)... et dubbez en kabyle signifie "engourdi". C'est simplement hallucicant ! Notre adebbuz kabyle ("berbère") a donné ensuite en "arabe" algérois Debza (baston) et des patronymes tels que Debbouze.
Sans plus tarder, nous allons voir un dieu avec non pas une massue ou un gourdin mais un marteau...
Akli (nègre, Maure) serait lié au Trésor et surtout au Chêne.
Le Chêne chez les scandinaves est le symbole du dieu de la foudre.
C'est à dire du dieu Thor.
Akli dieu de la forge ou Thor dieu de la foudre c'est kif-kif !
Akli kabyle = Ptah égyptien = Vulcanus romain = Hephaistos grec = Thor scandinave
(Akli = Thor : on y reviendra plus tard pour d'autres conclusions).
Laissons les dieux en paix et revenons aux hommes.
Akli chez les Kabyles est un prénom. Quel est son équivalent chez nos voisins du Nord ?
Plus haut on a dit que akli (agli) pourrait être avec un -d- à la fin vu la relation avec "source-clé (klidhi, kleis en grec)".
On va tirer un indice important de l'homologue grec de notre divin Akli :
Hephaistos, nous disent les grecs, était boîteux.
Akli (Hephaistos) claudiquait donc.
Akli (nègre, maure) kabyle porte bien un -d- à la fin...
Akli en kabyle = Claudius "le boîteux" romain = Claude
Akli le boîteux ou Claude le maure, c'est du pareil au même !
Au final, Akli s'il est divin et en visite en Scandinavie il deviendrait Thor. En revanche, si Akli est le commun des mortels, de l'autre côté de la méditerranée il s'appellerait Claudius (Claude en français).
La clé d'Akli
On a précédemment signalé le rapport que devrait avoir akli avec la notion de "clé" (ou "ouvrir") comme Ptah (celui qui ouvre) et surtout que thalla (source, fontaine) est en relation avec 'ldi,
'li (ouvrir) en kabyle et que la relation "source - clé" est attestée ailleurs (grec : kleis/klidhi, slaves : kluch).
- [kl] de akli en kabyle a donné une racine allongée en argot "arabe" algérois : [khl] de kahlouche (nègre).
- Une racine semblable [khl] existe en sémitique arabe pour kahil = cheville.
- Cheville justement provient en latin de la même racine que clé, clou, clavier, enclave, etc...
Il nous reste donc à déterminer ce mot "clé" en kabyle (synonyme SR de tha-saru-ts) avec la racine kl d'Akli. Ex.: on ne peut pas exclure que akli soit en réalité avec un -d- à la fin : aklid/agelid.
Le chêne d'Akli
Notre mythologie et contes populaires contiennent "le chêne de l'ogre", après tout waghzen et akli sont tous les deux des ogres/monstres !
Là nous allons vérifier si l'altération classique L-R n'est pas dans akli.
[kl] ~ [gr]
(k et g aspirés)
akarrush = chêne (proche de quercus en latin)
agarruj = trésor
akarrush et agarruj sont probablement identiques : le Trésor est identifié au Chêne.
Si on utilise l'altération L-R ou R-L on aura :
akarrush (chêne) = akalush (ou kahlouche) = akli (maure, nègre).
Donc akli est lié au Trésor et surtout au Chêne...
Conclusion très pesante surtout pour la toponymie :
Par exemple, tha-gemun-t u' karrush (Chênaie) pourrait être tha-gemun-t u'garruj (lien avec "Trésor") ou bien tha-gemun-t u'kahlush (lien avc Akli "le nègre" ou "le Maure").
En France, le massif des Maures serait non pas lié aux sarassins mais à la couleur "Noire", et suivant la logique kabyle (et méditerranéenne voir universelle), au Chêne voir au Bois, ex. Bois noir (lieu obscur et effrayant comme dans notre conte du chêne de l'ogre). Notre logique va se confirmer avec un autre toponyme en France : le Doubs qui signifierait Noir(e) en gaulois (celte). En Kabyle je suppose que Doubs n'est pa seulement Noir mais, comme chez nous Akli (Maure), doit avoir une relation avec le Chêne. Eh bien cette relation existe car Dub [doube] dans les langues slaves signifie justement Chêne !!!
C'est pas terminé ! Pour l'anecdote, en russe Doube (chêne) a donné Doubina = gourdin, massue qu'en kabyle nous appellons a-dhebbuz (debouze)... et dubbez en kabyle signifie "engourdi". C'est simplement hallucicant ! Notre adebbuz kabyle ("berbère") a donné ensuite en "arabe" algérois Debza (baston) et des patronymes tels que Debbouze.
Sans plus tarder, nous allons voir un dieu avec non pas une massue ou un gourdin mais un marteau...
Akli (nègre, Maure) serait lié au Trésor et surtout au Chêne.
Le Chêne chez les scandinaves est le symbole du dieu de la foudre.
C'est à dire du dieu Thor.
Akli dieu de la forge ou Thor dieu de la foudre c'est kif-kif !
Akli kabyle = Ptah égyptien = Vulcanus romain = Hephaistos grec = Thor scandinave
(Akli = Thor : on y reviendra plus tard pour d'autres conclusions).
Laissons les dieux en paix et revenons aux hommes.
Akli chez les Kabyles est un prénom. Quel est son équivalent chez nos voisins du Nord ?
Plus haut on a dit que akli (agli) pourrait être avec un -d- à la fin vu la relation avec "source-clé (klidhi, kleis en grec)".
On va tirer un indice important de l'homologue grec de notre divin Akli :
Hephaistos, nous disent les grecs, était boîteux.
Akli (Hephaistos) claudiquait donc.
Akli (nègre, maure) kabyle porte bien un -d- à la fin...
Akli en kabyle = Claudius "le boîteux" romain = Claude
Akli le boîteux ou Claude le maure, c'est du pareil au même !
Au final, Akli s'il est divin et en visite en Scandinavie il deviendrait Thor. En revanche, si Akli est le commun des mortels, de l'autre côté de la méditerranée il s'appellerait Claudius (Claude en français).
vendredi 12 avril 2013
Anzar, Pater Noster
C'est un grand jour pour l'identité kabyle...
Pour comprendre ce qui va suivre il faut avoir préalablement lu dans l'ordre les trois billets précédents consacrés à la racine KL sous ses diverses formes : 1, 2 et 3.
Anzar, avant-propos
Le mythe du dieu de la création Anzar est un mythe fondateur pour les kabyles et les mazigh plus généralement. Malheureusement sur le net, sur wiki, les infos sur Anzar sont erronées et induisent les gens en erreur ...et me rendent furieux! Une fois pour toute, il faut retenir que le dieu anZaR kabyle (mazigh), dieu des sources, de la fertilité, de la fécondité, etc..., est l'équivalent de :
- Poseidon grec (Poteidaon Crétois, anté-grec);
- Neptune romain;
- Enki/Ea sumérien/akkadien (le Créateur).
Anzar est la source de la vie, de la procréation; il est le Créateur. Chez les kabyles (mazigh en général) ce mythe est devenu une croyance, une coutume, une tradition qu'on sort en période de sécheresse (voir vidéo), sans aucune connotation religieuse donc.
Par ailleurs, notre Anzar a été sur ce blog étymologiquement rapproché de : Oziris (Egypte), César (Rome), Nazareth (Chrétiens). Tous ont une relation avec la notion de "Île".
Source - Clé - Île
Pour comprendre les conclusions à venir il faut retenir les appelations en kabyle de Île et de Clé (racine KL/CL interférente avec le latin + racine ZR/SR interférente avec le sémitique arabe gZR); le tout devant être en relation avec Source. En Kabylie, thalla avec racine L (KL, CL?) est la source/fontaine claire principale qui tarit en période de sécheresse et leynsar ou aynsar avec racine ZR/SR est la source fraîche sise juste près d'un cours d'eau (rivière, fleuve) donc intarissable.
1) KL/CL: thalla (source) + akli/isly, thIslyth ? (Île) + Li, Ldi (ouvrir, donc clé)
La relation source-oeil est partout 'allen - thalla en kabyle, 3ayn en arabe et hébreu. En grec Kledhi ou klidhi signifie clef : c'est cette variante qui doit être proche du kabyle clef avec racine CL/KL qu'on a égaré et sauvegardé dans le verbe ouvrir uniquement. Ptah divinité égyptienne qu'on rapproché de akli dans notre post précédent a donné justement en arabe meftah (clé), al-fatiha (ouverture) : encore une preuve de plus.
Il n'est pas exclu que "Île" avec la racine KL/CL/SL ou abrégée L serait simplement...thalla, ce qui serait vachement important surtout en toponymie.
2) ZR/SR : 3ynSaR, ainsar (source fraîche) + thi-gzir-th (île) + tha-saruts, thi-sura (clé (s)
Ici aussi il y a peut-être relation source - oeil grâce iZRi = vue mais peut-être y a-t-il relation source - nez car anezer, anezaren (nez).
On déduit une chose commune aux deux racines comparées :
KL/CL/SL racine de Akli/Ptah : Île = Terre = Source = Clef = Esclave (akli) = Mortelle (Clito, th-Isly-th);
ZR/SR racine d'Anzar/Osiris : Île = Source = Clef
Cleito
La campagne divine du dieu créateur est appelée différemment, ce couple de "divin+mortelle" (conception virginale quoi !) est le suivant selon les peuples :
Anciens Égyptiens : Oziris - Isis
Kabyles : Anzar - th-Isly-th (th, t affixes du féminin) "la fiancée"
(thislith nw anzar "la fiancée d'Anzar" est l'arc-en-ciel)
Grecs : Poseidon - Cleito
Romains : Neptune - Amphitrite (Salacia)
Faites un tour au musée du Louvre pour voir le Triomphe d'Anzar/Neptune apporté de Constantine durant la période de colonisation; bien entendu les algériens, arabes-maures islamisés n'ont jamais demandé la restitution de cet artefact car ce n'est pas leur identité dont il s'agit mais de la nôtre.
Clito (Klito) la princesse mortelle (chez les grecs) fécondée par le dieu Poseidon (de leur union naît Atlas) n'est autre que th-isly-th "la fiancée" d'Anzar version kabyle/mazigh. La racine KL voir CL ou SL est la même; conformément à ce qu'on a vu dans les trois posts précédents, on peut conclure que Clito est "une Île", la "Terre"(sol, planète)...et Clito grecque, th-Isly-th kabyle, serait la Vierge chez les chrétiens et...Fatiha chez les arabes musulmans comme nous allons le voir plus loin.
Amphitrite en grec (salacia pour les romains) l'épouse de Neptune est étymologiquement très proche - la tentation est trop forte d'où le raccourci - du terme kabyle tha-menifri-th "femme enceinte capricieuse aux désirs cachés": c'est la fertilité, la fécondité, thème central du mythe de la création divine ou conception virginale, qui est en question.
Pour les kabyles (mazigh en général) qui veulent se conformer aux coutumes, le mariage entre une fille et un garçon, tous les deux vierges, doit se dérouler uniquement en été durant la canicule en Juin-Juillet durant le triomphe d'Anzar/Neptune (nouvel an ou crue du Nil pour Oziris), probablement au Solstice d'été comme c'est le cas dans plusieurs autres cultures.
Le mariage religieux de nos jours n'est légal qu'après la Fatiha "ouverture"...
La Fatiha, c'est la prière de Ptah "celui qui ouvre",
Ptha akli ou isly est la "clé, 'île, source"
La Fatiha prière d'ouverture, prière de Ptah..
...celle de Clito ou de Poseidon, de th-Isly-th ou d'Anzar?
La Fatiha musulmane est l'équivalent du Pater Noster chrétien...
(référence à la Vierge) (référence au Créateur)
Anzar, Pater Noster.
Anzar Pater Noster, c'est du 100% kabyle, mazigh. C'est la prière des mariages identitairement authentiques et légitimes. Clito, th-Isly-th le symbole même de la fertilité et fécondité de la Terre et de la Femme serait de loin le mieux placé pour la cérémonie nuptiale : les mariés sous un arc-en-ciel pour célébrer leur union !
Hélas l'arc-en-ciel est de nos jours, en Occident du moins, souillé puiqu'il est devenu l'emblème d'êtres pour le moins particuliers et surtout inféconds ! Autant donc se limiter à une cérémonie sous un arc sans couleurs, un arc de triomphe conviendrait parfaitement. A bon entendeur !
Pour comprendre ce qui va suivre il faut avoir préalablement lu dans l'ordre les trois billets précédents consacrés à la racine KL sous ses diverses formes : 1, 2 et 3.
Anzar, avant-propos
Le mythe du dieu de la création Anzar est un mythe fondateur pour les kabyles et les mazigh plus généralement. Malheureusement sur le net, sur wiki, les infos sur Anzar sont erronées et induisent les gens en erreur ...et me rendent furieux! Une fois pour toute, il faut retenir que le dieu anZaR kabyle (mazigh), dieu des sources, de la fertilité, de la fécondité, etc..., est l'équivalent de :
- Poseidon grec (Poteidaon Crétois, anté-grec);
- Neptune romain;
- Enki/Ea sumérien/akkadien (le Créateur).
Anzar est la source de la vie, de la procréation; il est le Créateur. Chez les kabyles (mazigh en général) ce mythe est devenu une croyance, une coutume, une tradition qu'on sort en période de sécheresse (voir vidéo), sans aucune connotation religieuse donc.
Par ailleurs, notre Anzar a été sur ce blog étymologiquement rapproché de : Oziris (Egypte), César (Rome), Nazareth (Chrétiens). Tous ont une relation avec la notion de "Île".
Source - Clé - Île
Pour comprendre les conclusions à venir il faut retenir les appelations en kabyle de Île et de Clé (racine KL/CL interférente avec le latin + racine ZR/SR interférente avec le sémitique arabe gZR); le tout devant être en relation avec Source. En Kabylie, thalla avec racine L (KL, CL?) est la source/fontaine claire principale qui tarit en période de sécheresse et leynsar ou aynsar avec racine ZR/SR est la source fraîche sise juste près d'un cours d'eau (rivière, fleuve) donc intarissable.
1) KL/CL: thalla (source) + akli/isly, thIslyth ? (Île) + Li, Ldi (ouvrir, donc clé)
La relation source-oeil est partout 'allen - thalla en kabyle, 3ayn en arabe et hébreu. En grec Kledhi ou klidhi signifie clef : c'est cette variante qui doit être proche du kabyle clef avec racine CL/KL qu'on a égaré et sauvegardé dans le verbe ouvrir uniquement. Ptah divinité égyptienne qu'on rapproché de akli dans notre post précédent a donné justement en arabe meftah (clé), al-fatiha (ouverture) : encore une preuve de plus.
Il n'est pas exclu que "Île" avec la racine KL/CL/SL ou abrégée L serait simplement...thalla, ce qui serait vachement important surtout en toponymie.
2) ZR/SR : 3ynSaR, ainsar (source fraîche) + thi-gzir-th (île) + tha-saruts, thi-sura (clé (s)
Ici aussi il y a peut-être relation source - oeil grâce iZRi = vue mais peut-être y a-t-il relation source - nez car anezer, anezaren (nez).
On déduit une chose commune aux deux racines comparées :
KL/CL/SL racine de Akli/Ptah : Île = Terre = Source = Clef = Esclave (akli) = Mortelle (Clito, th-Isly-th);
ZR/SR racine d'Anzar/Osiris : Île = Source = Clef
Cleito
La campagne divine du dieu créateur est appelée différemment, ce couple de "divin+mortelle" (conception virginale quoi !) est le suivant selon les peuples :
Anciens Égyptiens : Oziris - Isis
Kabyles : Anzar - th-Isly-th (th, t affixes du féminin) "la fiancée"
(thislith nw anzar "la fiancée d'Anzar" est l'arc-en-ciel)
Grecs : Poseidon - Cleito
Romains : Neptune - Amphitrite (Salacia)
Faites un tour au musée du Louvre pour voir le Triomphe d'Anzar/Neptune apporté de Constantine durant la période de colonisation; bien entendu les algériens, arabes-maures islamisés n'ont jamais demandé la restitution de cet artefact car ce n'est pas leur identité dont il s'agit mais de la nôtre.
Clito (Klito) la princesse mortelle (chez les grecs) fécondée par le dieu Poseidon (de leur union naît Atlas) n'est autre que th-isly-th "la fiancée" d'Anzar version kabyle/mazigh. La racine KL voir CL ou SL est la même; conformément à ce qu'on a vu dans les trois posts précédents, on peut conclure que Clito est "une Île", la "Terre"(sol, planète)...et Clito grecque, th-Isly-th kabyle, serait la Vierge chez les chrétiens et...Fatiha chez les arabes musulmans comme nous allons le voir plus loin.
Amphitrite en grec (salacia pour les romains) l'épouse de Neptune est étymologiquement très proche - la tentation est trop forte d'où le raccourci - du terme kabyle tha-menifri-th "femme enceinte capricieuse aux désirs cachés": c'est la fertilité, la fécondité, thème central du mythe de la création divine ou conception virginale, qui est en question.
Pour les kabyles (mazigh en général) qui veulent se conformer aux coutumes, le mariage entre une fille et un garçon, tous les deux vierges, doit se dérouler uniquement en été durant la canicule en Juin-Juillet durant le triomphe d'Anzar/Neptune (nouvel an ou crue du Nil pour Oziris), probablement au Solstice d'été comme c'est le cas dans plusieurs autres cultures.
Le mariage religieux de nos jours n'est légal qu'après la Fatiha "ouverture"...
La Fatiha, c'est la prière de Ptah "celui qui ouvre",
Ptha akli ou isly est la "clé, 'île, source"
La Fatiha prière d'ouverture, prière de Ptah..
...celle de Clito ou de Poseidon, de th-Isly-th ou d'Anzar?
La Fatiha musulmane est l'équivalent du Pater Noster chrétien...
(référence à la Vierge) (référence au Créateur)
Anzar, Pater Noster.
Anzar Pater Noster, c'est du 100% kabyle, mazigh. C'est la prière des mariages identitairement authentiques et légitimes. Clito, th-Isly-th le symbole même de la fertilité et fécondité de la Terre et de la Femme serait de loin le mieux placé pour la cérémonie nuptiale : les mariés sous un arc-en-ciel pour célébrer leur union !
Hélas l'arc-en-ciel est de nos jours, en Occident du moins, souillé puiqu'il est devenu l'emblème d'êtres pour le moins particuliers et surtout inféconds ! Autant donc se limiter à une cérémonie sous un arc sans couleurs, un arc de triomphe conviendrait parfaitement. A bon entendeur !
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