A l'origine des écritures et de la civilisation un monstre...
La racine kabyle [kl] d'Akli va nous apporter des éléments de réponse quant à l'origine des...langues ! Pour comprendre ce qui va suivre il faut impérativement avoir suivi la série de billets consacrés à cette racine depuis le post "Fardée méca,ique" (cliquez sur le libellé correspondant ou tapez akli dans le moteur de recherche en haut à droite de la page).
Notons que akli pourrait se transcrire autrement : akli (agli, voir agri) et un D à la fin : aklid (agelid, agerid ?). La relation Akli - Clef (klidhi en grec) est établie, idem pour source - clef, loqiquement la relation Akli - Clef - Source (fontaine, Thalla kabyle) est établie.
La roue d'Akli
La racine [kl] indique le mouvement ininterrompue, la marche; le mouvement d'une pendule serait le plus approprié pour cette racine. Via le mot thi-kel-t (une fois) = volta/vuelta en romanes (tour) nous avons compris la forme de [kl].Le terme kabyle shekel (bloquer) indique carrément "arrêter" (s) le "mouvement" (kl) ou mettre le bâton dans les roues : il expliquerait, on ne peut mieux, le mot "échec". La notion de mouvement d'une roue (un tour) en kabyle serait donc portée par la racine -kl- ou ses dérivées (ex. -gr- de geruj/kerush = kelush/kahlush/akli) dont voici une toute fraîche :
KL ~ WL
Nous allons voir que cette racine WL (=KL) atteste justement le sens de roue, la parole nous aidera à le démontrer. Y a qu'à voir le mot thagrawla (révolution) avec -gr- et -wl- indiquant doublement le tour.
Akli le Slave
Là nous allons démontrer la vraie étymologie du mot Slave et c'est tout bénéf pour les rouskoffs comme pour les kabs ! Grosso modo, l'étymologie populaire du mot Slave nous renvoie à 1) la version occidentale qui dit que Slave viendrait d'esclave (en anglais slave = un esclave, un Slave); 2) la version russe qui lierait le mot Slave à slovo (parole, mot). On retiendra justement ces deux indices : esclave + parole, soit en kabyle akli + awal ou les racines KL + WL qui sont quasi-identiques donc qui expliquerait le lien entre "esclave" et "parole" même ailleurs (Slave par exemple). Le mot slave lui-même explique tout suivant sa transcription avec un s, un c ou un k :
SLV slave
CLV ou CLF : clave
KLV ou KLF: klave
La relation avec Clef crève les yeux, c'est donc la même chose que pour Akli en kabyle ! Au final, faut être un kab pour mieux comprendre pourquoi cette confusion qui lie Slave à esclave. Voilà que tout s'explique !
La parole d'Akli
Nous allons nous intéresser à une notion de temps :
KL en kabyle est en relation avec le notion de temps (thikelt, etc...).
Pendant en français de "pendre" (notion de pendule, KL kabyle)
While en anglais (wheel est une roue en anglais).
awal en kabyle est la parole.
On peut supposer que la parole ait un lien avec la roue ou le mouvement de la roue.
La table d'Akli
Nous allons prendre le même verbe pendre en français :
Dépendant, indépendant sont issus de le même racine que "pendre" (pendule KL).
En russe, c'est exactement la même chose. Ce qui explique pourquoi, kabylement parlant, la racine KL du pendule est la même que celle de l'esclave (akli).
staqel (acquérir son indépendance) en arabe ne serait pas un vernaculaire car ils n'ont pas cette racine KL/QL/WL de mouvement ni la mythologie correspondante (Akli kabyle = Ptah égyptien = Hephaistos grec...).
staqel, à consonance arabe, est utilisé en kabyle. Eh bien ce staqel serait probablement apparenté à stable en romanes. Autrement dit, un être dépendant (Akli) est instable (racine KL du mouvement de pendule), et l'indépendant = le stable. Une métaphore s'impose : akli le dépendant (esclave qu'il est) et donc instable (d'où hephaistos/akli "le boîteux" Claude !) est associé à 3 ou à une table à 3 pieds; à l'opposé, l'indépendant (libre, noble) donc le stable serait une table stable à 4 pieds au moins, un Trapèze forcément et nous allons voir pourquoi un peu plus bas...
Akli le vilain
La racine -kl- d'Akli est dans kelex (duper, tromper). Vu de la relation entre notre racine KL et BL ou VL en latin et langues européennes, il n'est pas exclu que akli ou les iklen (esclaves, Maures, Égyptiens, Slaves) soient simplement des vilains, c'est à dire des paysans travaillant la terre (akal). Cette hypothèse sera étudiée ultérieurement pour confirmation ou infirmation.
La banque kabyle
Les grecs nous ont emprunté le mot thalassa (la mer en grec), c'est du 100% sûr. En kabyle, thalla (source, fontaine) est habité par Thallaphsa/Thallafsa/Thallavsa? (hydre) ou par abbréviation laphaa (hydre, vipère, reptile). Si ce dernier terme laphaa est emprunté par les arabes al-1afa3 pour "vipère" (de vipère on traite les femmes pour leur langue très longue, et ce n'est pas pour rien comme nous allons le voir plus loin !), e mot kabyle (et "berbère") thallaphsa (hydre) a été transformé par les grecs en tallassa, le treme grec étant hydre. Et pourtant les grecs ont gardé notre thallaphsa ailleurs :
- Dans leurs mythologie : Téléphassa mère de Cadmos qui a apporté l'alphabet "phénicien" aux grecs, Téléphassa ou disons-le en kabyle Thallaphsa, fille de Agénor fils de Posedion (Anzar pour nous) et de Libye. Après ça, on me dira que "phénicien" nous renvoie à l'Orient sémite et non aux Puniques occidentaux ? Allez, basta ! on est fatigué par les mensonges officiels !
- Dans leur lexique : Thallaphsa (TLPS ou TLPZ) kabyle ("berbère" ou libyco-punique probablement) aurait subi une altération classqiue du L en R pour donner en grec Trapeza, le trapèze qui comme on l'a vu au paragraphe précédent est lié à Akli lui-même lié à la source Thalla (voir haut de la page).
* Trapeza en grec (thallaphsa en kabyle), en rapport à la tablle, a été emprunté par le russe pour signifier "festin", c'est à dire mekli (repas de midi, déjeûner) en kabyle avec toujours la racine KL, remarquez bien.
* Trapeza en grec (thallaphsa en kabyle) en grec signifie Banque (trapeza grec en rapport à la table, banca en latin en rapport au banc) : en kabyle nous devons désigner les termes Table et Banque par Thallaphsa ou Thalla ou par leurs dérivés. La Table de Jugurtha de Salluste (on l'a déjà étudié sur ce blog), sans doute une allusion au trésor du chef Numide, serait plutôt Le Trapèze de Jugurtha, probablement le Trésor ou la Banque de Jugurtha soit en kabyle ("berbère") Thalla N Jugurthen ou Thallaphsa N Jugurthen.
Alfa kabyle
Les camarades sémites revendiquent la paternité d'à peu près tout ce qui existe sans en apporter des preuves. Aleph (mille) en kabyle emprunté au sémitiques ? Ce sont eux qui le disent.
Alpha = Hydre (Thallaphsa)
Alfa ou Aleph est dans Thallaphsa (hydre).
Alpha serait simplement Poly en latin ou Polloi grec pour "plusieurs".
Hydre à plusieurs têtes car c'est Thallaphsa, et pas besoin de mu3djizat arabes ou de kabbale hébraïque pour explique ceci. Aleph de Thallphsa (hydre) à plusieurs têtes pouvant régénérer, une mille-pattes serait aussi qlq part une thallaphsa :)
J'espère que les camarades sémites vont se calmer après cette démonstration :)
NB : alpha pourrait se transcrire autrement wleph ou kalph avec la racine de source, clé, akli, etc...A vérifier ultérieurement.
La civilisation Thallaphsa
Nous aussi avons emprunté hydre des grecs. Comment dit-on "que s'est-il passé ?" ici et la ?
wash sra en argot "arabe" algérois
(SR de saruts "clef" : en russe idem relation entre "clef" et "événement qui se passe, cas, hasard").
madha hadeth (2) ? en sémitique arabe
ashu y idhran (1) ? en kabyle
* hedher en kabyle (être présent/témoin) comme en arabe hadher (1) (présent), les deux seraient liés au grec hydhre.
- En arabe hadith (2) signifie verset...verseau en kabyle et tamacheq (N.GH.L) c'est lié à verseau = ange (mot introduit en grec puis en latin par notre cher Apulée) : on comprend mieux d'où vient leur croyance sur les anges qui lisaient des versets !
- En sémitiques, notamment en arabe, haditha (2) signifie aussi moderne, nouvelle comme HDST de Carthage = qrt.hsdt = ville.nouvelle. Il y a ici aussi peut-être une liaison avec Hydre (2), alors qu'en kabyle Nouveau/Moderne est dit Nulphu (L.PH d'alfa) visiblement lié à l'hydre aussi mais la nôtre Thallaphsa. Il est clair que Thallaphsa ou la mythique Télephassa n'est pas sémitique mais bien de chez nous !
- En arabe le terme hadhara (1) signfie civilisation, la racine du terme lié pertinemment à Hydre (2). Par un simple calque on peut déduire qu'en kabyle ("berbère" en général) Thallaphsa (hydre) serait synonyme de "Présent", "Moderne/Nouveau" et CIVILISATION.
- En arabe langue (anatomie) se dit lisan, en kabyle c'est iles. Eh bien ce mot kabyle ilse/yles devrait se transcrire ilephs/ylefs car lié à l'hydre Thallaphsa, vous comprenez pourquoi chez nous on traite les femmes, d'office trop bavardes, de laphaa (vipère) diminutif de thallaphsa (hydre) !
La mythique Téléphassa, mère de Cadmos qui a apporté les écritures aux hommes, grecs en l'occurrence, serait simplement Thallaphsa.
Cadmos est né de Thallaphsa, autrement dit : Les écritures (alphabet) sont nées de la civilisation.
Au commencement était la Parole.
A la source "Thalla" était la Parole "Awal" (awalph? = alpha ?)
A l'origine des écritures et de la civilisation il y avait un monstre, l'hydre "Thallaphsa".
Thallaphsa qui a donné chez les grecs et Thallassa (la mer) et la princesse Téléphassa mère d'Europe. C'est la preuve que le berceau de la civilisation et des écritures (alphabet) dont il est question était bien en Méditerrannée Occidentale sur les rives puniques !
Après tout ça de lu, malheur à tout kabyle qui prêterait l'oreille aux vrais monstres, ceux qui jurent par le mal et les forces du mal absolu décidés à nous anéantir, nous et notre véritable identité.