Aux sources de l'alpha et de bêta...
Si vous avez lu les derniers posts en date, vous aurez sans doute compris l'importance de "Octo" (Huit, 8) - sa variante avto (auto) qui est MN de ce côté de la Méditerranée - qui atteste la relation Eau = Egalité = Equilibre = Libra (Balance) donc Justice.
On a établi que la probabilité que Bêta qui ouvre les livres sémites (Coran, Torah) soit liée à la divinité égyptienne Ptah (celui qui ouvre) n'est pas nulle, donc aux linguistes et autres spécialistes de piocher plus loin pour confirmer ou infirmer. Là on va voir qu'en est-il de l'Alpha
Gauche vs Droite
Cette dualité est intéressante, linguitisquement parlant, dans la langue kabyle tout comme ailleurs, par exemple en anglais, et oui :)
a-zelmadh : gauche
a-yephus (alephus?) : droite
Antagonisme intéressant. Il est probable que gauche-droite soit aussi lourd vs léger (zay vs fesas), serrer vs desserer/décorder/délier/fondre (zemedh vs fsi) donc fermer vs ouvrir, etc...
Mais ce qui nous intéresse est sutout la Droite car en relation avec le droit, la justice, donc égalité, balance, etc...
Bref, deux indices essentiels pour aller chercher le sens de l'alpha :
- Droite (droit) donc Direct;
- Huit (octo), balance, égalité justice.
Pour faire court, l'antagonisme Gauche-Droite en kabyle va être ceci :
Gauche vs Droite
a-zelmadh (a-zermadh ? azrem : serpent) vs a-ayephus (alephus?)
Serpent (azrem) vs Hydre (thallaphsa)
On sait que les reptiles (hydres) sont associés à deux éléments : l'Eau et le Feu.
Gauche vs Droite
Serpent vs Hydre (eau), Dragon (feu)
Pour ce qui est du feu du dragon il s'agirait d'étincelle ou d'éclair (levraq, lephraq?) ou simplement de la lumière (tha-phath rapprochable de ayephus "droite") qui va justement tout droit (ex.laser); d'ailleurs l'anglais va nous aider à confirmer cette logique :
right = droite, juste
light (R en L) = 1.lumière, feu (briquet); 2. léger
Les Anglais ne diffèrent en rien des Kabyles dans cette logique !
Direct
Les linguistes ne vont pas apprécier cette méthode qui n'est pas conventionnel, néanmoins le rapprochement suivant tenant compte de la relation Droite - Huit (octo) s'impose :
Direct : D + Recto (en latin) = Octo (en grec) pour Huit
Dragon : lié par altération de B en D directement à Droit/Direct, d'un côté, et à Bras/Bracci (en italien) qui serait ighil (ighilf ?) en kabyle pour "bras, coudée (étalon de mesure)" symbole de la force.
Bref, Alpha ou Aleph pourrait être un bras (droit !) levé, une Coudée, une unité de mesure.
Octo
En réalité le grec Octo (huit), ou son équivalent latin Recto (droit), indiquerait les deux éléments essentiels de la vie : l'Eau et le Feu. Pour l'eau on l'a déjà expliqué (voir son équivalent MN en kabyle et en arabe); pour le feu c'est dans "dragon" qu'on trouve la trace DR+GN ou D+RGN : ex.en slaves, en russe ogon = feu tout comme agonie en fr./IE (selqaf en kabyle, selqalf avec LF ?); ex. RG ou ragh = brûler, briller en kabyle; hariq "indendie" en arabe, etc...
Il serait utile de signaler cette contradiction : dans Thallaphsa/Dragon la droite liée au feu (lumière aussi donc) mais aussi à son inverse : éteignement, agonie, crépuscule ? Tout ça reste à élucider.
Par ailleurs, Thallaphsa pourrait être bien Thallaphsax donc Thalla-Phsax où thalla est "source, fontaine" et phsax ou fsakh signifie "s'évanouir".
Telephassa
On connait la forme de la lettre Alpha : c'est une ligne verticale droite.
Grâce à Thallaphsa (hydre) en kabyle (et en mazigh/"berbère") on peut supposer que l'alpha est d'origine nord-africaine, punique surtout que d'après les mythes des anciens Grecs c'est le descendant de Telephassa (Cadmos) qui a donné cet alphabet aux anciens Grecs. Sauf que...
On a vu que dans le Huit, le kabyle et le sémitique-arabe ont en commun MN dans themanya. MN est dans eau "aman" et dans imen "soi" en kabyle donc 1-0 pour le kabyle. Par contre, MN est dans yamin (droit) en arabe donc 1-1 dans ce match. Sérieusement, cette intérférence pourrait s'expliquer par un fond commun , ce que l'on va appeller "la piste égyptienne ancienne".
Eh bien, pour Alpha notre Thallaphsa nous donne 1-0 pour le kabyle (mazigh). Par contre, respirer/inspirer étant nephes (lephes ?) en kabyle, exactement comme en arabe où nefs signifie aussi "idem, équivalent, soi" donc reliable à la notion de Huit (octo = auto). Donc là aussi c'est 1-1, là nous détenons peut-être "la piste phénicienne" qui expliquerait ce fond commun. Si la kabyle partage ce LF droit de Alpha avec le phénicien, il est clair que le kabyle possède une autre variante qu'il a en commun avec le latin pour "droit": RG, RQ de vreq, ragh, awragh (éclair, brûler,jaune/or) devenue RD en latin dans radius (rayon, radial). A suivre.
Talassa, la Vierge
On va simplifier les choses pour aller vite. On peut supposer (ça demeure à caution) que la probabilité n'est pas nule pour que :
Thallaphsa (hydre) = Telephassa = La Mer (du milieu) donc Méditerranée = la Vierge
Thallaphsa étant liée à Huit donc à la balance qui était toujours le symbole de la Vierge, vous pouvez le vérifier.
Mare Nostrum
Thallaphsa va aussi nous permettre de comprendre pourquoi le nom de mer Méditerranée. La balance étant le Huit (octo et eau symbole de l'égalité/équilibre) dont le lien avec Thallaphsa est décrit plus haut, perso ça ne me laisse peu de doutes. En plus tenez ceci :
Marie (la vierge) serait liée à Mer (Mare) en latin.
La mare nostrum des Romains aurait était sans doute Thallaphsa des Puniques.
Et voici une équivalence par une altération assez inattendue :
Ph, Phs ancien = M kabyle moderne
alephas = alemas (mitoyen, du milieu)
Cette altération pourrait être même simplifiée :
Ph (F), P ancien = M kabyle contemporain pour relier le feu à la lumière :
thi-mes (le feu) vs tha-phath (lumière)
* Il est probable que thimes en kabyle serait thimens avec MN d'eau (aman) et de huit (themanya).
Pour info, on a déjà établi sur ce blog la relation entre le kabyle alemas (mitoyen, du milieu, moyen) et le grec ermes/Hermès notamment pour le jour du milieur de la semaine (mercredi).
Là probablement nous sommes sur la trace du sens de "marché" (de Mercure latin = Hermes grec), tout comme de la balance (calculs donc).
Ptah
L'altération P en M (on peut les marier pour avoir MP qui en grec = B !) explique tout bêtement deux chose, même si c'est un raccourci vulgaire, une chose assez simple :
1)
C.MP.T (compter, comptoir) = CPT = CMT
Voic la suite p.2
2)
KMT = KPT
Kemet "terre noire" était le nom autochtone de l'équivalent grec : Egypte (copte aussi), non lié au dieu des calculs Ptah "celui qui ouvre" : Ptah serait synonyme de Compter/Calculer/Mesurer !
Masr, Misr en sémitiques (en kabyle aussi on dit Maser) est expliquable :
MSR = PSR
C'est la même relation entre Mesurer et Peser, ou bien Mizan (balance) en arabe, en kabyle et Peseur : Ptah et Oziris étaient des "peseurs" qui auraient donné le nom de l'Egypte. On peut supposer qu'il s'agit de balance des deux Egyptes, ou bien de pays du milieu (= centre) ou comme la Chine "l'empire du milieu".
Alpha vs Bêta
On a vu dans les billets précédents que Bêta serait liée au dieu égyptien Ptah. Là aussi nous voyons que même l'Alpha le serait aussi surtout qu'il s'agirait très vraisemblablement de notion liée aux poids et mesures, dont Ptah reste le symbole depuis les temps anciens. Alors pourquoi cette relation de Ptah et avec Alpha et avec Bêta ? Bonne question...qui reste à élucider.
Elément
Maintenant un truc assez important, la cerise sur le gâteau. On sait que les langues évoluent dans le temps d'où les altérations conséquentes, et, bien entendu, les mots mutent. L'altération Phs ou Ph/P en M (voir LF en M en IE; ex. Self anglais = Sam en russe) est tout simplement un très bon exemple car elle est extraordinaire ! Vous vous souvenez que l'on disait que Hannibal n'aurait pas utilisé des éléphants pour fair la guerre comme on nous le dit ? Eh bien voici la meilleure explication, elle est élémentaire, c'est le cas de le dire ! :)
LPN = LMN
Eléphant = Elément
(Idem pour delphin/dauphin issu du grec)
L'éléphant sur la pièce de monnaie carthaginoise indiquerait une unité; les calculs, les comptes, les systèmes de commerce (échanges), le système bancaire punique dont Rome a hérité, etc...
Aussi, le Levant serait identique à la version arabe pure Yemen (yamin = droit).
Maintenant, pour la petite blague, à vous de déchiffrer à l'aide de cette formule Ph=M pourquoi depuis l'antiquité les Romains désignaient une partie des peuplades germaniques par alemani. Pas trouvé ? Les Allemands, aux choix, seraient 1. des éléphants, 2. des yéménites (pour les arabes), non, c'est juste de levantins car ils étaient à l'Est de l'empire Rome.
lundi 30 septembre 2013
mercredi 25 septembre 2013
Libra
A la source des chiffres et des lettres...
La théorie dominante va prendre de l'eau, la preuve par huit !
Prélude
Malgré les acquis formidables des civilisations créées par les descendants des barbares destructeurs de Rome, d'un côté, et la richesse inouie (ah le pétrole !) et la domination religieuse sur une autre partie du monde des descendants des barbares hillaliens destructeurs de l'Egypte ancienne et de notre monde libyco-punique, de l'autre, l'humanité contemporaine n'a jamais été en mesure de comprendre et surtout d'accepter les sources de ses succès, ils continuent à surfer sur des mythes et des légendes qu'ils ont élevé au statut de dogme, histoire, etc...
Nous avons vu déjà dans le billet précédent ce que Octo ou Huit (8) peut contenir comme information. Là on peut affirmer clairement que ce simple mot Octo (8) est capable de renverser les théories établies, y compris celle d'une racine commune indo-européenne, y compris les fausses vérités des camarades sémites arabes.
On peut mettre au défit leurs doctes : on les tient par la gorge cette fois ! Et l'immense Egypte ancienne est de notre côté ! Le calcul, l'arithmétique, l'algèbre, la géométrie - les maths quoi ! -, l'astronomie, les lettres, le commerce, les banques, etc..., tout peut trouver racine en ancienne Egypte et à Carthage, dans le monde punique plus généralement.
Libra
Nous avons déjà établi sur ce blog ceci :
Eau = Equilibre, Egalité (balance "libra", justice)
aqua/agua/eau = aman kabyle = 8
avto/auto = octo = 8
L'eau compte le temps (par seulement à cause des clepsydres).
Maintenant du nouveau.
Le livre des Maures
Un livre contient des mots, eux-mêmes formés par des lettres.
- Livre = Livre (poids) = Libre = Libra (balance) : même racine, vérifier l'étymologie
- Mot = esclave (awal vs akli en kabyle) : kalima arabe a donné kalim "dot" en Asie centrale, slave/esclave ou sclavo (à comparer à notre akli) a donné Slaves pour sûr.
Mot = île (réf. akli en kabyle)
- Lettre = Litre = Liberté : la lettre de l'alphabet est libre, ça se comprend !
En kabyle on dit comment un livre ?
tha-kthav-th.
kitab en arabe.
Octave simplement, c'est le 8 qui revient, l'eau (voir liquide).
Ne croyez plus les Maures-Arabes sur leurs kitab, mektoub, etc...
Comme un livre est liée à une livre (poids), quel serait l'équivalent kabyle/chaoui ?
Un livre c'est aussi un volume (la preuve, on dit "en 2, 3, etc...volumes" au lieu de tome).
a-qarwi : unité de mesure de poids (et de volume aussi ?).
QR signifiant aussi lire, étudier s'instruire. C'est aussi QR de tête, donc Chapitre (d'un livre). Donc ce n'est pas tout à fait ça. Il y a aussi en kabyle et chaoui a-mud (unité de volume, poids), tharyalt (volume d'eau) qu'il faut sonder. La logique est de comparer un livre écrit à un volume ou poids d'eau pour retrouver l'ancien système de mesures-poids-volume. Une bibliothèque selon cette logique serait un château d'eau ou un barrage :)
Le mot Litre (rapproché de lettre) est dit comment en kabyle ? ritla. On dirait une verlanisation de litra, litre. Pas sûr. TL (thell) est justement la mesure : k'thill. Masi mieux encore, dans ritla en kabyle, et puisque on parle de volume d'eau, donc d'eau (égalité), donc de litra=libra (balance), on peut supposer la relation avec Justice (balance), donc le Droit. Et notre ritla dans ce cas nous renvoie à Orto ou Orthos "droit" en grec ancien. Cette même relation eau=8=balance=justice = droit nous permet de dire que themanya (8 en kabyle et en arabe) serait probablement arabe (ou mot commun via l'Egypye) car en arabe yamin signifie "droit"donc racine MN sémitique, et sachant qu'en kabyle droit, droite c'est ayephus (alephus?) on est en mesure de supposer qu'en kabyle ce serait Aleph ou Alpha "droit, droite" directement lié à Thallaphsa "hydre" (8 tentacules ?). Ici c'est la trace Punique (voir Phéncienne) que l'on retrouve dans la langue kabyle. A approfondir.
Quand le compte y est on dit en kabyle swa-swa, le compte est juste, d'ailleurs comme en argot "arabe" algérois. Il est vrai qu'en arabe la même racine indique sawi "égal". Mais au vu de la logique des systèmes de mesures et calculs qui repose sur l'Eau, il serait opportun de dire que SW en kabyle sew signifie boire, ou faire boire/irriguer (s'sew). Exotique comme hypothèse mais elle repose cependant sur une logique simple, et, disons-le tout de suite, elle explique beaucoup de chose : akl "bouffe, manger" en arabe, en kabyle ne sonne-t-il pas comme égal en romanes (fr.)?
Justice donc liée à l'Eau (balance) symbolisée par Octo ou 8. Et ça marche même chez les anglais !; la preuve est dans la rythmique des mots : right (droit, juste), eight (8) !
Il est relativement simple de faire le lien entre Auguste (lié à 8) et Juste. Ou autrement dit, Augustin = Justinien. Dans le nom de notre Saint Augustin, nom issu du toponyme Thaghaste probablement, on pourrait trouver d'autres indices très intéressants à exploiter pour faire renaître notre langue kabyle/chaoui/mazigh, notre monde libyco-punique !
Si le système de mesures des anciens était étroitement lié à l'Eau, il devait probablement y avoir une réglementation, un standard des poids et mesures mais lequel et comment s'appelait-il ? Comment fait-on pour traverser un cours d'eau, hein ? Exact, il faut un Pont. En d'autres termes, Standard serait en kabyle Qentar ou thaqentarth "pont, aqueduc".
Un truc pour finir. Non, bien entendu ce ne sont pas les arabes ou les maures arabisés qui auraient inventé l'algèbre ! Algèbre ou Libra nous renvoie à ce que nous venons de voir plus haut (lié à Eau, 8, balance). Les maths en général c'est surtout une histoire d'équations, ou disons-le plus correctement, une histoire d'aqua-tions :) Et puis concernant les Arabes, la supercherie de "chiffres arabes" est maintenant comprise par tous ou presque, reste à ajouter une chose : les chiffres tels qu'écrits aujourd'hui doivent être comparés aux...lettres de l'alphabet arabe, par exemple 5 contre le "djim" arabe (gamma). C'est toute une histoire :)))
La théorie dominante va prendre de l'eau, la preuve par huit !
Prélude
Malgré les acquis formidables des civilisations créées par les descendants des barbares destructeurs de Rome, d'un côté, et la richesse inouie (ah le pétrole !) et la domination religieuse sur une autre partie du monde des descendants des barbares hillaliens destructeurs de l'Egypte ancienne et de notre monde libyco-punique, de l'autre, l'humanité contemporaine n'a jamais été en mesure de comprendre et surtout d'accepter les sources de ses succès, ils continuent à surfer sur des mythes et des légendes qu'ils ont élevé au statut de dogme, histoire, etc...
Nous avons vu déjà dans le billet précédent ce que Octo ou Huit (8) peut contenir comme information. Là on peut affirmer clairement que ce simple mot Octo (8) est capable de renverser les théories établies, y compris celle d'une racine commune indo-européenne, y compris les fausses vérités des camarades sémites arabes.
On peut mettre au défit leurs doctes : on les tient par la gorge cette fois ! Et l'immense Egypte ancienne est de notre côté ! Le calcul, l'arithmétique, l'algèbre, la géométrie - les maths quoi ! -, l'astronomie, les lettres, le commerce, les banques, etc..., tout peut trouver racine en ancienne Egypte et à Carthage, dans le monde punique plus généralement.
Libra
Nous avons déjà établi sur ce blog ceci :
Eau = Equilibre, Egalité (balance "libra", justice)
aqua/agua/eau = aman kabyle = 8
avto/auto = octo = 8
L'eau compte le temps (par seulement à cause des clepsydres).
Maintenant du nouveau.
Le livre des Maures
Un livre contient des mots, eux-mêmes formés par des lettres.
- Livre = Livre (poids) = Libre = Libra (balance) : même racine, vérifier l'étymologie
- Mot = esclave (awal vs akli en kabyle) : kalima arabe a donné kalim "dot" en Asie centrale, slave/esclave ou sclavo (à comparer à notre akli) a donné Slaves pour sûr.
Mot = île (réf. akli en kabyle)
- Lettre = Litre = Liberté : la lettre de l'alphabet est libre, ça se comprend !
En kabyle on dit comment un livre ?
tha-kthav-th.
kitab en arabe.
Octave simplement, c'est le 8 qui revient, l'eau (voir liquide).
Ne croyez plus les Maures-Arabes sur leurs kitab, mektoub, etc...
Comme un livre est liée à une livre (poids), quel serait l'équivalent kabyle/chaoui ?
Un livre c'est aussi un volume (la preuve, on dit "en 2, 3, etc...volumes" au lieu de tome).
a-qarwi : unité de mesure de poids (et de volume aussi ?).
QR signifiant aussi lire, étudier s'instruire. C'est aussi QR de tête, donc Chapitre (d'un livre). Donc ce n'est pas tout à fait ça. Il y a aussi en kabyle et chaoui a-mud (unité de volume, poids), tharyalt (volume d'eau) qu'il faut sonder. La logique est de comparer un livre écrit à un volume ou poids d'eau pour retrouver l'ancien système de mesures-poids-volume. Une bibliothèque selon cette logique serait un château d'eau ou un barrage :)
Le mot Litre (rapproché de lettre) est dit comment en kabyle ? ritla. On dirait une verlanisation de litra, litre. Pas sûr. TL (thell) est justement la mesure : k'thill. Masi mieux encore, dans ritla en kabyle, et puisque on parle de volume d'eau, donc d'eau (égalité), donc de litra=libra (balance), on peut supposer la relation avec Justice (balance), donc le Droit. Et notre ritla dans ce cas nous renvoie à Orto ou Orthos "droit" en grec ancien. Cette même relation eau=8=balance=justice = droit nous permet de dire que themanya (8 en kabyle et en arabe) serait probablement arabe (ou mot commun via l'Egypye) car en arabe yamin signifie "droit"donc racine MN sémitique, et sachant qu'en kabyle droit, droite c'est ayephus (alephus?) on est en mesure de supposer qu'en kabyle ce serait Aleph ou Alpha "droit, droite" directement lié à Thallaphsa "hydre" (8 tentacules ?). Ici c'est la trace Punique (voir Phéncienne) que l'on retrouve dans la langue kabyle. A approfondir.
Quand le compte y est on dit en kabyle swa-swa, le compte est juste, d'ailleurs comme en argot "arabe" algérois. Il est vrai qu'en arabe la même racine indique sawi "égal". Mais au vu de la logique des systèmes de mesures et calculs qui repose sur l'Eau, il serait opportun de dire que SW en kabyle sew signifie boire, ou faire boire/irriguer (s'sew). Exotique comme hypothèse mais elle repose cependant sur une logique simple, et, disons-le tout de suite, elle explique beaucoup de chose : akl "bouffe, manger" en arabe, en kabyle ne sonne-t-il pas comme égal en romanes (fr.)?
Justice donc liée à l'Eau (balance) symbolisée par Octo ou 8. Et ça marche même chez les anglais !; la preuve est dans la rythmique des mots : right (droit, juste), eight (8) !
Il est relativement simple de faire le lien entre Auguste (lié à 8) et Juste. Ou autrement dit, Augustin = Justinien. Dans le nom de notre Saint Augustin, nom issu du toponyme Thaghaste probablement, on pourrait trouver d'autres indices très intéressants à exploiter pour faire renaître notre langue kabyle/chaoui/mazigh, notre monde libyco-punique !
Si le système de mesures des anciens était étroitement lié à l'Eau, il devait probablement y avoir une réglementation, un standard des poids et mesures mais lequel et comment s'appelait-il ? Comment fait-on pour traverser un cours d'eau, hein ? Exact, il faut un Pont. En d'autres termes, Standard serait en kabyle Qentar ou thaqentarth "pont, aqueduc".
Un truc pour finir. Non, bien entendu ce ne sont pas les arabes ou les maures arabisés qui auraient inventé l'algèbre ! Algèbre ou Libra nous renvoie à ce que nous venons de voir plus haut (lié à Eau, 8, balance). Les maths en général c'est surtout une histoire d'équations, ou disons-le plus correctement, une histoire d'aqua-tions :) Et puis concernant les Arabes, la supercherie de "chiffres arabes" est maintenant comprise par tous ou presque, reste à ajouter une chose : les chiffres tels qu'écrits aujourd'hui doivent être comparés aux...lettres de l'alphabet arabe, par exemple 5 contre le "djim" arabe (gamma). C'est toute une histoire :)))
La ville sainte
Des insulaires, des victorieux et de la ville sainte...
Nous allons, cher lecteur/chère lectrice, allez droit au but pour gagner du temps.
Les îles
On sait que le toponyme Alger est lié au îles via sa traduction arabe "al djazair". On a déjà parlé sur ce blog que Césarée (Maurétanie Césarienne) aurait donné justement Alger pour "îles, archipel". On a vu dans le post "Claude le maure" la relation akli (esclave, nègre, boucher) avec île. Voici une autre méthode de procéder pour confirmer cette hypothèse.
KL : racine kabyle de mouvement, action
akli : 1. (prénom kabyle) Claude; 3. (mythologie) équiv.Héphaistois/Vulcanus/Ptah, 2. esclave, nègre, boucher
Prenons le nom Maure de Maurétanie.
Maure est grec pour "noir", autrement dit "nègre" ou akli en kabyle (kahlouche en argot DZ);
Maure = nègre = Akli (esclave, nègre, boucher) = boucher ou djezar en arabe...même racine que djazira "île".
Le toponyme Alger lié aux îles s'explique facilement : du kabyle Akli (agli ?) le grec a traduit seulement "nègre"(akli; k'hel, kahlouche) pour Maure et Maurétanie; l'arabe a traduit seulement la notion de "boucher" (akli).
akli ou agli aurait probablement une relation avec agelid "prince, roi" en kabyle.
aklid, agelid = roi/prince vassal
Vassal de Rome en l'occurence qui a créé les 3 Maurétanies (royaumes).
Plus largement, cette notion de Île serait probablement lié à Occident, Couchant, Ouest (maghreb en arabe). D'ailleurs, une île (d'un continenent) pourrait être associé à une lune (d'une planète), et du point de vue "religieux" (mythologique) le culte de la lune était répandu et en kabyle ZR est dans thiziri (clair de lune) et île (thi-gzir-t). On y reviendra ultérieurement.
Victoire
On sait que notre Neptune kabyle/mazigh Anzar est lié au triomphe. Là on peut affirmer bien avant la confirmation par les linguistes qualifiés ceci :
M-NSR de Masnour que les autres attribuent à l'arabe = V-NSR ou V-NZR ou V-NCR
En romanes c'est Vincere, vaincre/vainquer/victorieux
En kabyle c'est NS de nes dans Thunès et NZ de Anzar.
Vinci en latin devient Minci ou Mensi chez nous (M à cause de l'arabe ?)
Et ça ne vous dit rien ?
Mekli (repas de midi) - Mensi (repas du soir, diner "al'3acha en arabe)
M-KL contre M-NS
(kl: akli "esclave" donc vassal) vs (ns, kns: noble, libre ?)
Plus largement :
M-KL (imekli "déjeuner") est le repas du Nomade
M-NS (imensi "dîner") est le repas du Sédentaire
La Victoire est la Vie. (ici on tient la clé du mythe de Osisris !)
3aich en arabe, emprunté en kabyle, aurait du donner non pas Nasser/Mansour mais 3achour pour l'équivalent de "Victor". Là on esr capable de remonter à la vraie origine de la 3achoura (Thachourt) fêtée en Kabylie surtout, une fête sans doute qui remonte à l'époque romaine (Saturnales ?) sinon punique/égyptienne.
Et vous savez cette relation "bouffe-action/mouvement" si visible en kabyle dans KL (thikli "marche, mouvement", imekli "repas de midi", makla "bouffe" comme akl en arabe) est vérifiable ailleurs donc elle n'est pas fortuite
Temps
On a déjà établi sur ce blog ce qui suit :
1. Octo = Avto pour "auto": son équivalent kabyle est MN : imen, iman
2. Aqua, agua, eau en romanes = MN kabyle pour aman = équilibre
3. MN kabyle de "auto", "eau" est dans Huit (8) themanya comme en arabe.
Maintenant une nouveauté.
En kabyle le temps est désigné par waqth supposé être un emprunt à l'arabe al-waqt. Pas sûr!
WQR = OCT du grec octo "huit"...themanya en kabyle (MN) et en arabe !
Bref, c'est l'Eau qui indique le temps, y compris sa direction.
Victor pour victoire on l'a vu plus haut.
Vecteur, figurez-vous, est aussi lié à 8 (octo) et a le sens de Cavalier aussi...comme amenay en kabyle. Au final, MN en kabyle est dans "eau, auto/octo/huit, vecteur/cavalier".
En réalité, octo (8) a beaucoup marqué plusieurs langues. Son équivalent kabyle serait MN comme on l'a vu (mais là il y a interférence avec l'arabe, sans doute à cause de l'Egypte), N simplement (là aussi lien avec l'ancienne Egypte où N symbolisait l'eau et N.Kh la vie) ou bien...L comme nous allons le voir.
Thallaphsa
On sait que l'hydre devrait avoir sept têtes, d'après les mythes, mais avec combien de tentacules, on ne l'a jamais su :)
C'est l'eau qui mesure le temps donc. Et l'eau c'est huit (8) comme on l'a vu.
L'eau c'est la vie, aman dh laman "l'eau c'est le salut" en kabyle.
Le temps aussi coule, le temps aussi c'est la vie.
Temps = Eau = Vie = 8
On est lié à l'eau ici, aux sources. Donc MN de aman "eau" et aux sources.
Thalla (source, fontaine) liée à Allen "yeux" voir clefs comme ailleurs (source = clef), probalement liée à la racine KL de mouvement/marche/esclave et du soleil/chaleur de midi (voir plus haut);
L'ainssar (proche du sémitique ayn): source fraîche près des cours d'eau; probablement liée à NS du soir (voir plus haut nes, imensi) ou/et à NZ de Anzar;
thaawint : source/fontaine de secours utilisée en période de sécheresse; peut-être liée à "ayn" sémitique ou voir même à MN de huit ?
Une remarque.
Thalla a été rapprochée de clef, porte (ville) et de trois (3). A tort peut-être.
Thallaphsa (hydre) est simplement un Octopus "huit-pieds" (8 tentacules).
Thallaphsa = Thalla + phesa où Thalla serait justement notre Octo, huit (8) ?
Thalla ou Thana ?
Voici donc une piste nouvelle à vérifier...
Pentapolis
On a déjà écrit sur ce blog que Constantin = Alexandre = (probalement) César. Je ne sais pas quel chiffre exactement symbolise "la ville sainte", la capitale, peut-être est ce 5 ou 8 voir 10 ou 100 mais elle a le sens de "constante". Ainsi Constantinople (Istamboul, Stamboul) = Alexandrie = Césarée (Nazareth, Nassiria). Suivez maintenant le raisonnement suivant, prononcez les noms suivants deux fois de suite :
Saint-Paul, Stamboul,
Saint-Paul, Stamboul
Vous y êtes !
Le Saint est notre "Constante" ! Et Paul n'est rien d'autore que polis/ptolis "ville, cité" en grec.
Mais quelle est la valeur de cette "constante" ?
1) Pentapolis
Penta (grec) = Quinte (latin) : déjà démontré sur ce blog
La Ville Sainte = la Ville Cinq :)
Et ainsi Constantinople-Stamboul (Saint-Paul :) serait Pentapolis comme jadis en Cyrène.
2)Megapolis
Simplement car c'est la plus grande ville, la capitale (tête) comme Alexandrie par exemple. Mega va sans doute prendre le sens de 100. Ainsi la ville sainte devient la ville cent ou Centre-Ville :) ou ville centrale. Plausible.
3) Heliopolis
Ville du soleil, littéralement mais comme on l'a déjà écrit sur ce blog Heliopolis = Tournesol. Un ville capital est avant tout une plaque tournante (le tournesol !) donc...
Ensuite il faut prendre les capitales des empires et rechercher leurs particularités communes pour déterminer ce qu'est rationnellement une ville sainte, c'est à dire ses coordonnées géographiques par rapport au temps, donc à la position de la terre par rapport au soleil (dans l'année) et surtout dans l'espace (durant les époque, ères).
Rome "ville éternelle", ça doit avoir une signification, pas loin de "ville sainte". Eternel est normalement ce qui est permanent, constant. Et voilà notre "constante" ! Rome "ville éternelle" = Constantinople "ville sainte". Et cette constante ne serait rien d'autre que le Temps (donc lien avec eau et octo/huit donc Octopolis n'est pas à exclure :), ce qui veut dire que le temps (+ géographie) se comptait par rapport à ce repère "ville sainte".
4) Stambouli
Il y a une hypothèse d'un linguiste qui affirme que Temps et Temple ont la même racine. Tout à fait d'accord, j'ajouterais que Temps-Temple ont en commun le sens de Constante, la sainte constante ! Logiquement, pour Constantinople (Stamboul, Istamboul) par exemple, le nom est Ville Constante = Ville Sainte = Ville (du) Temple. Il s'agirait du Temple du Temps avant tout !
Et pour finir, le nom Stambouli signifie simplement Templier c-à-d Gardien du Temple, c-à-d Gardien du Temps...
Nous allons, cher lecteur/chère lectrice, allez droit au but pour gagner du temps.
Les îles
On sait que le toponyme Alger est lié au îles via sa traduction arabe "al djazair". On a déjà parlé sur ce blog que Césarée (Maurétanie Césarienne) aurait donné justement Alger pour "îles, archipel". On a vu dans le post "Claude le maure" la relation akli (esclave, nègre, boucher) avec île. Voici une autre méthode de procéder pour confirmer cette hypothèse.
KL : racine kabyle de mouvement, action
akli : 1. (prénom kabyle) Claude; 3. (mythologie) équiv.Héphaistois/Vulcanus/Ptah, 2. esclave, nègre, boucher
Prenons le nom Maure de Maurétanie.
Maure est grec pour "noir", autrement dit "nègre" ou akli en kabyle (kahlouche en argot DZ);
Maure = nègre = Akli (esclave, nègre, boucher) = boucher ou djezar en arabe...même racine que djazira "île".
Le toponyme Alger lié aux îles s'explique facilement : du kabyle Akli (agli ?) le grec a traduit seulement "nègre"(akli; k'hel, kahlouche) pour Maure et Maurétanie; l'arabe a traduit seulement la notion de "boucher" (akli).
akli ou agli aurait probablement une relation avec agelid "prince, roi" en kabyle.
aklid, agelid = roi/prince vassal
Vassal de Rome en l'occurence qui a créé les 3 Maurétanies (royaumes).
Plus largement, cette notion de Île serait probablement lié à Occident, Couchant, Ouest (maghreb en arabe). D'ailleurs, une île (d'un continenent) pourrait être associé à une lune (d'une planète), et du point de vue "religieux" (mythologique) le culte de la lune était répandu et en kabyle ZR est dans thiziri (clair de lune) et île (thi-gzir-t). On y reviendra ultérieurement.
Victoire
On sait que notre Neptune kabyle/mazigh Anzar est lié au triomphe. Là on peut affirmer bien avant la confirmation par les linguistes qualifiés ceci :
M-NSR de Masnour que les autres attribuent à l'arabe = V-NSR ou V-NZR ou V-NCR
En romanes c'est Vincere, vaincre/vainquer/victorieux
En kabyle c'est NS de nes dans Thunès et NZ de Anzar.
Vinci en latin devient Minci ou Mensi chez nous (M à cause de l'arabe ?)
Et ça ne vous dit rien ?
Mekli (repas de midi) - Mensi (repas du soir, diner "al'3acha en arabe)
M-KL contre M-NS
(kl: akli "esclave" donc vassal) vs (ns, kns: noble, libre ?)
Plus largement :
M-KL (imekli "déjeuner") est le repas du Nomade
M-NS (imensi "dîner") est le repas du Sédentaire
La Victoire est la Vie. (ici on tient la clé du mythe de Osisris !)
3aich en arabe, emprunté en kabyle, aurait du donner non pas Nasser/Mansour mais 3achour pour l'équivalent de "Victor". Là on esr capable de remonter à la vraie origine de la 3achoura (Thachourt) fêtée en Kabylie surtout, une fête sans doute qui remonte à l'époque romaine (Saturnales ?) sinon punique/égyptienne.
Et vous savez cette relation "bouffe-action/mouvement" si visible en kabyle dans KL (thikli "marche, mouvement", imekli "repas de midi", makla "bouffe" comme akl en arabe) est vérifiable ailleurs donc elle n'est pas fortuite
Temps
On a déjà établi sur ce blog ce qui suit :
1. Octo = Avto pour "auto": son équivalent kabyle est MN : imen, iman
2. Aqua, agua, eau en romanes = MN kabyle pour aman = équilibre
3. MN kabyle de "auto", "eau" est dans Huit (8) themanya comme en arabe.
Maintenant une nouveauté.
En kabyle le temps est désigné par waqth supposé être un emprunt à l'arabe al-waqt. Pas sûr!
WQR = OCT du grec octo "huit"...themanya en kabyle (MN) et en arabe !
Bref, c'est l'Eau qui indique le temps, y compris sa direction.
Victor pour victoire on l'a vu plus haut.
Vecteur, figurez-vous, est aussi lié à 8 (octo) et a le sens de Cavalier aussi...comme amenay en kabyle. Au final, MN en kabyle est dans "eau, auto/octo/huit, vecteur/cavalier".
En réalité, octo (8) a beaucoup marqué plusieurs langues. Son équivalent kabyle serait MN comme on l'a vu (mais là il y a interférence avec l'arabe, sans doute à cause de l'Egypte), N simplement (là aussi lien avec l'ancienne Egypte où N symbolisait l'eau et N.Kh la vie) ou bien...L comme nous allons le voir.
Thallaphsa
On sait que l'hydre devrait avoir sept têtes, d'après les mythes, mais avec combien de tentacules, on ne l'a jamais su :)
C'est l'eau qui mesure le temps donc. Et l'eau c'est huit (8) comme on l'a vu.
L'eau c'est la vie, aman dh laman "l'eau c'est le salut" en kabyle.
Le temps aussi coule, le temps aussi c'est la vie.
Temps = Eau = Vie = 8
On est lié à l'eau ici, aux sources. Donc MN de aman "eau" et aux sources.
Thalla (source, fontaine) liée à Allen "yeux" voir clefs comme ailleurs (source = clef), probalement liée à la racine KL de mouvement/marche/esclave et du soleil/chaleur de midi (voir plus haut);
L'ainssar (proche du sémitique ayn): source fraîche près des cours d'eau; probablement liée à NS du soir (voir plus haut nes, imensi) ou/et à NZ de Anzar;
thaawint : source/fontaine de secours utilisée en période de sécheresse; peut-être liée à "ayn" sémitique ou voir même à MN de huit ?
Une remarque.
Thalla a été rapprochée de clef, porte (ville) et de trois (3). A tort peut-être.
Thallaphsa (hydre) est simplement un Octopus "huit-pieds" (8 tentacules).
Thallaphsa = Thalla + phesa où Thalla serait justement notre Octo, huit (8) ?
Thalla ou Thana ?
Voici donc une piste nouvelle à vérifier...
Pentapolis
On a déjà écrit sur ce blog que Constantin = Alexandre = (probalement) César. Je ne sais pas quel chiffre exactement symbolise "la ville sainte", la capitale, peut-être est ce 5 ou 8 voir 10 ou 100 mais elle a le sens de "constante". Ainsi Constantinople (Istamboul, Stamboul) = Alexandrie = Césarée (Nazareth, Nassiria). Suivez maintenant le raisonnement suivant, prononcez les noms suivants deux fois de suite :
Saint-Paul, Stamboul,
Saint-Paul, Stamboul
Vous y êtes !
Le Saint est notre "Constante" ! Et Paul n'est rien d'autore que polis/ptolis "ville, cité" en grec.
Mais quelle est la valeur de cette "constante" ?
1) Pentapolis
Penta (grec) = Quinte (latin) : déjà démontré sur ce blog
La Ville Sainte = la Ville Cinq :)
Et ainsi Constantinople-Stamboul (Saint-Paul :) serait Pentapolis comme jadis en Cyrène.
2)Megapolis
Simplement car c'est la plus grande ville, la capitale (tête) comme Alexandrie par exemple. Mega va sans doute prendre le sens de 100. Ainsi la ville sainte devient la ville cent ou Centre-Ville :) ou ville centrale. Plausible.
3) Heliopolis
Ville du soleil, littéralement mais comme on l'a déjà écrit sur ce blog Heliopolis = Tournesol. Un ville capital est avant tout une plaque tournante (le tournesol !) donc...
Ensuite il faut prendre les capitales des empires et rechercher leurs particularités communes pour déterminer ce qu'est rationnellement une ville sainte, c'est à dire ses coordonnées géographiques par rapport au temps, donc à la position de la terre par rapport au soleil (dans l'année) et surtout dans l'espace (durant les époque, ères).
Rome "ville éternelle", ça doit avoir une signification, pas loin de "ville sainte". Eternel est normalement ce qui est permanent, constant. Et voilà notre "constante" ! Rome "ville éternelle" = Constantinople "ville sainte". Et cette constante ne serait rien d'autre que le Temps (donc lien avec eau et octo/huit donc Octopolis n'est pas à exclure :), ce qui veut dire que le temps (+ géographie) se comptait par rapport à ce repère "ville sainte".
4) Stambouli
Il y a une hypothèse d'un linguiste qui affirme que Temps et Temple ont la même racine. Tout à fait d'accord, j'ajouterais que Temps-Temple ont en commun le sens de Constante, la sainte constante ! Logiquement, pour Constantinople (Stamboul, Istamboul) par exemple, le nom est Ville Constante = Ville Sainte = Ville (du) Temple. Il s'agirait du Temple du Temps avant tout !
Et pour finir, le nom Stambouli signifie simplement Templier c-à-d Gardien du Temple, c-à-d Gardien du Temps...
jeudi 12 septembre 2013
Bêta : la revanche de Ptah
Aux sources de la lettre Bêta,
Ou la revanche de Ptah sur les plagiaires...
Et dire que tout est parti d'un simple œuf !
Et tout commence en Kabylie où certains disent thi-mellal-in quand d'autres désignent les oeufs par thi-mellay-in; idem pour amellal vs amellay pour "blanc, blond". Laquelle des deux racines est la plus correcte MLL ou MLY ? Eh bien pour les départager, il faudra faire appel à d'autres mots et procéder à une comparaison approprié. En effet, dans plusieurs langues le même terme est utilisé pour désigner l'oeuf, testicule (mâle), ovaire (femelle).
thi-mellalin, thi-mellayin = les oeufs
thi-qellayin = les testicules
On voit clairement que c'est la racine MLY la plus correcte ! Donc c'est amellay "blanc, blond" et thi-mellayin "oeufs" ! Bien entendu, la deuxième variante amellal, thi-mellalin demeure toujours acceptable.
Pommes d'or
Le radical ML de "blanc" et "oeuf" désignerait peut-être en vrai kabyle la mela (en italien) pour la pomme que nous désignons en kabyle de nos jours par un emprunt tsefah idem à tefah en arabe. Cette racine ML serait alors valable pour "blanc", "oeuf" et aussi "pomme". Et il est opportun de supposer que les fameuses pommes d'or du jardin des hespérides seraient non pas des pommes mais...des oeufs, non, pas d'or mais colorées, peints comme les oeufs de Pâques. Le seul souci avec cette supposition est que le jardin des hespérides est situé à l'ouest et non pas du coté du levant. Néanmoins, il faudra retenir cet indice pour la racine ML qui va s'avérer crucial comme nous allons le voir plus loin: Pâques.
Casa Blanca
Cette racine ML de "blanc" et "oeuf" est fantastique car elle permet de remonter à des choses ô combine intéressantes. D'abord ML de tha-mellayth, tha-mellalt (oeuf) tout comme son équivalente QL de thi-qellayin "les testicules" nous renvoie aux notions suivantes:
Cellule, Case (d'une grille)
Maintenant un petit rappel : en kabyle MLou MLL/MLY désigne en même temps "blanc" et "oeuf", en sémitique-arabe c'est la même chose : BYD pour abyadh "blanc" et baydh "oeuf". Et il se trouve qu'en arabe, en sémitiques plus généralement, il y a une racine phonétiquement très proche (BYT) de beyt ou beït, beth qui désigne "maison" (ex. Bethleem)...mais c'est avant tout Bêta pour la lettre B qui serait une évolution d'un hiéroglyphe égyptien en forme de case ou rectangle. Donc l'arabe nous dit que B, bêta = maison = blanc.
Pour faire simple, l'oeuf est associé au "blanc" ains qu'à "la cellule", à une case...Casa (maison) en romanes serait l'équivalent du sémitique beyt/beth. D'où la supposition que Casa Blanca est simplement un pléonasme : cellule (blanche) blanche !
Capital
En kabyle nous disons ras l'mal comme en arabe ra1s (tête) al -amwal (argent, deniers) sauf qu'en kabyle ML de l'mal désigne bétail, cheptel qui sont appelés autrement en arabe: ghinam. Bêta serait-elle en relation avec bestia (bête), les linguistes qu'en disent-ils ? Toujours est-il que le capital à l'époque pastorale surtout s'exprimait en nombe de têtes de bêtes/bétail/cheptel. Hélas, à cause du féodalisme, le capital s'était aussi le nombre d'esclaves (KL: iklan) que le maître possédait. (A propos, en arabe âbd, âbid pour esclaves est tout aussi proche de bet/bêta). En clair, un esclave, qui n'avait pas d'âme selon les anciens Grecs, étaint considérées comme des objets, de vulgaires marchandises.
Marché
Les Arabes disent ghani pour riche (lié donc à ghinam = cheptel) alors que les Kabyles disent a-mercanti, sans doute claque sur mercantile (de l'italien merci = marchandises). Il suffit d'altérer R en L comme c'est souvent le cas en kabyle pour que mercanti devienne melcanti ou melkanti où MLK indique justement "un bien matériel, un objet, une propriété" autant en kabyle ou MWL est "parent, propriétaire, maître" alors qu'en arabe, en sémitiques, MLK désigne le seigneur, le roi, le maître. Il faudra donc exploiter cette piste ultérieurement pour dénicher les vraies appellations kabyles de "marché", "marchandise", "mercantile", "riche", etc...Il est évident qu'une comparaison s'impose : KL, QL en kabyle indique "la marche, le mouvement" (thikli) et la marchandise-l'esclave (akli) alors qu'en romanes le raccourci entre la marche, marcher et le marché est peut-être justifié: le marché en kabyle devrait contenir la racine QL/KL voir ML. A suivre.
Banque "blanche balance"
Des banquiers blanchisseurs d'argent, étymologiquement c'est pas volé comme nous allons le voir. Il suffit d'abord de comparer: ML kabyle est BL en romanes pour blanc, blanco, bianco. Ensuite, il faut savoir que l'étymologie officielle nous dit que le terme Banque serait issu de "banc". Eh bien il me semble que ce "banc" serait une variante biaisée:
Banque en réalité seait lié à "blanc", et surtout à "balance", voir à planche de balance (ou balançoire).
Transactions ou échanges c'est toujours argent contre marchandise (produit, service) à une valeure déterminée par le cours du marché.
En grec banque est trapeza avec référence à table. Si, comme on l'a vu plus haut, capital serait lié à bétail tandis que le terme marché serait lié à esclave=marchandise, le terme banque aurait pu être lié à étable plus qu'à la table en grec (trapeza) ou à banc en latin. Il est presque évident, surtout que l'on aura confirmation un peu plus loin, que l' on peut supposer que le terme Banque serait lié non pas à table mais à stable (tout le contraire de marché lié à marche ?), non pas à banc mais à balance; le terme banca lui-même serait blanca, balance.
Bêta : Ptah
En plus de balance, on a les synonymes libra (en latin, en astrologie) et bascule. Bien entendu, c'est aux linguistes de confirmer ou d'infirmer, cependant on peut supposer des origines étymologiques bien intéressantes de libra et bascule en parfaite corrélation avec celle de balance de banque.
Libra est, celà se voit, est en relation avec liberté, libre tout le contraire d'esclave-marchandise (lié au marché). Le terme latin révoqué Libra se serait, selon notre hypothèse, maintenu dans l'anglais pour Liver "le foie", ce qui nous renvoie directement à Hepta (sept en grec) et surtout à la divinité égyptienne Ptah protecteur des architectes et artisans, Ptah contiendrait la notion de foie, Jupiter comme on l'a déjà écrit sur ce blog il y a un bon moment. Dans notre cas présent, Ptah serait probablement ce qui est ensuite devenu Bêta.
Il est possible que Libra symbolise une fête religieuse, un événement astrologique majeur, probablement l'équinoxe d'automne (l'équinoxe signifie toujours un passage); la Yuriev Den (sorte de saint-georges) des Slaves en automne quand les serfs, presque esclaves quoi, avaient la liberté de changer de maître (un mercato quoi!); ça rappelle un peu les saturnales romaines quand les esclaves prenaient la place de leurs maîtres, cette permutation durait 3-7 jours de fête.
Bascule
L'origine étymologique officielle du terme bascule est peu convaincante. Il serait raisonnable de supposer que bascule n'est rien d'autre que Pascale adj.de Pâques. Ou tout simplement ceci : Ptah "qui ouvre" aurait donné Bêta pour l'alphabet (première lettre en hébreu par exemple) et surtout Pâques pour "équinoxe" de printemps (passage du printemps) certainement qui concorde avec la période de Pâques. Le terme Passage lui-même serait probablement une variante dérivée de Pasaq (Pasqua, Pâques) issu de pessah en hebreu lui-même emprunté à l'ancien égyptien Ptah.
Ptah égyptien a donné Pessah "passage" chez les juifs ainsi bien sûr que meftah "clée et surtout al-fatiha "ouverture" dans le Coran des arabo-musulmans. C'est un indice capital et sans équivoque qui démontre que les camarades sémites arabes-musulmans et juifs ont pillé dans la religion égyptienne - et on connaît leur haine de l'ancienne Egypte - bien plus antérieure aux leurs : c'est la revanche de Ptah sur les plagiaires.
Peso
Ptah égyptien a donné pessah en hébreu et donc Pâques dans le monde jadis romanisé devenu par la suite "judéo-chrétien". Psah "pâques" ou équinoxe du printemps aurait à mon sens donné en russe vesna (printemps), vès "poids"...tout comme peso (poids) en espagnol ou peser en français. (pour l'anecdote le terme poids est issu de pondre...on revient aux oeufs !). Ce qui nous laisse supposer que Ptah dieu des artisans et architectes aurait un sens rationnel lié au poids et mesures.
Bêta kabyle
On voit que Ptah "celui qui ouvre" de l'ancienne Egypte est devenu :
Ftah chez les arabes
Psah/Pessah "passage" (pâques) chez les juifs.
Psac ou Pasqua en latin/romanes
Et en kabyle Ptah serait comment ?...
Et bien d'abord regardez bien l'hiéroglyphe égyptien qui donna par la suite la lettre B.
Ensuite un petit rappel : Ptah est "celui qui ouvre" (celui qui ouvre un passage -"pâques"- sans doute).
Ptah devenu ailleurs Ftah, Psah, Pasaq en kabyle est devenu Taq (dTaq) "fenêtre, lucarne" : c'est une ouverture qui explique donc le sens de Ptah mais aussi l'hiéroglyphe correspondant à Bêta en forme de rectangle non-clos avec justement ce passage ou fenêtre/lucarne.
Donc Ptah serait chez nous Taq, dTaq : le p a disparu ou a été absorbé dans le T emphatique. C'est par le terme dTaq que l'on désignerait alors et Ptah, et Pâques et la lettre Bêta. Mais là c'est toute une autre histoire que l'on étudiera ultérieurement.
B ou bêta est certainement issue de Ptah (qui a donné Egypte, Copte) et sous sa forme B comme une balance à deux plateaux convient parfaitement à l'Egypte ou plutôt aux Deux-Egyptes, Haute et Basse, une sorte de balance des deux terres :) On devra aussi retrouver l'autre peseur, Osiris. Plus généralement la balance (lire sur balancerie) est un symbole de justice, de commerce, etc...
P.S.
Il y a des choses curieuses que les linguistes devraient nous expliquer. Par exemple, Bâta ou beyt/beth signifie "maison" en sémitiques. Habiter, Habitation aurait-il un lien avec bêta, beth/beyt ? surtout quand on regarde la proximité habitation vs habit :) idem pour veste, vêtement vs bestia (bête). Habit pour protection sans doute. Le tout proche de hepta (sept en grec) liéa sans doute à Ptah. Tout ça devra être analysé plus sérieusement. Une autre fois.
Ou la revanche de Ptah sur les plagiaires...
Et dire que tout est parti d'un simple œuf !
Et tout commence en Kabylie où certains disent thi-mellal-in quand d'autres désignent les oeufs par thi-mellay-in; idem pour amellal vs amellay pour "blanc, blond". Laquelle des deux racines est la plus correcte MLL ou MLY ? Eh bien pour les départager, il faudra faire appel à d'autres mots et procéder à une comparaison approprié. En effet, dans plusieurs langues le même terme est utilisé pour désigner l'oeuf, testicule (mâle), ovaire (femelle).
thi-mellalin, thi-mellayin = les oeufs
thi-qellayin = les testicules
On voit clairement que c'est la racine MLY la plus correcte ! Donc c'est amellay "blanc, blond" et thi-mellayin "oeufs" ! Bien entendu, la deuxième variante amellal, thi-mellalin demeure toujours acceptable.
Pommes d'or
Le radical ML de "blanc" et "oeuf" désignerait peut-être en vrai kabyle la mela (en italien) pour la pomme que nous désignons en kabyle de nos jours par un emprunt tsefah idem à tefah en arabe. Cette racine ML serait alors valable pour "blanc", "oeuf" et aussi "pomme". Et il est opportun de supposer que les fameuses pommes d'or du jardin des hespérides seraient non pas des pommes mais...des oeufs, non, pas d'or mais colorées, peints comme les oeufs de Pâques. Le seul souci avec cette supposition est que le jardin des hespérides est situé à l'ouest et non pas du coté du levant. Néanmoins, il faudra retenir cet indice pour la racine ML qui va s'avérer crucial comme nous allons le voir plus loin: Pâques.
Casa Blanca
Cette racine ML de "blanc" et "oeuf" est fantastique car elle permet de remonter à des choses ô combine intéressantes. D'abord ML de tha-mellayth, tha-mellalt (oeuf) tout comme son équivalente QL de thi-qellayin "les testicules" nous renvoie aux notions suivantes:
Cellule, Case (d'une grille)
Maintenant un petit rappel : en kabyle MLou MLL/MLY désigne en même temps "blanc" et "oeuf", en sémitique-arabe c'est la même chose : BYD pour abyadh "blanc" et baydh "oeuf". Et il se trouve qu'en arabe, en sémitiques plus généralement, il y a une racine phonétiquement très proche (BYT) de beyt ou beït, beth qui désigne "maison" (ex. Bethleem)...mais c'est avant tout Bêta pour la lettre B qui serait une évolution d'un hiéroglyphe égyptien en forme de case ou rectangle. Donc l'arabe nous dit que B, bêta = maison = blanc.
Pour faire simple, l'oeuf est associé au "blanc" ains qu'à "la cellule", à une case...Casa (maison) en romanes serait l'équivalent du sémitique beyt/beth. D'où la supposition que Casa Blanca est simplement un pléonasme : cellule (blanche) blanche !
Capital
En kabyle nous disons ras l'mal comme en arabe ra1s (tête) al -amwal (argent, deniers) sauf qu'en kabyle ML de l'mal désigne bétail, cheptel qui sont appelés autrement en arabe: ghinam. Bêta serait-elle en relation avec bestia (bête), les linguistes qu'en disent-ils ? Toujours est-il que le capital à l'époque pastorale surtout s'exprimait en nombe de têtes de bêtes/bétail/cheptel. Hélas, à cause du féodalisme, le capital s'était aussi le nombre d'esclaves (KL: iklan) que le maître possédait. (A propos, en arabe âbd, âbid pour esclaves est tout aussi proche de bet/bêta). En clair, un esclave, qui n'avait pas d'âme selon les anciens Grecs, étaint considérées comme des objets, de vulgaires marchandises.
Marché
Les Arabes disent ghani pour riche (lié donc à ghinam = cheptel) alors que les Kabyles disent a-mercanti, sans doute claque sur mercantile (de l'italien merci = marchandises). Il suffit d'altérer R en L comme c'est souvent le cas en kabyle pour que mercanti devienne melcanti ou melkanti où MLK indique justement "un bien matériel, un objet, une propriété" autant en kabyle ou MWL est "parent, propriétaire, maître" alors qu'en arabe, en sémitiques, MLK désigne le seigneur, le roi, le maître. Il faudra donc exploiter cette piste ultérieurement pour dénicher les vraies appellations kabyles de "marché", "marchandise", "mercantile", "riche", etc...Il est évident qu'une comparaison s'impose : KL, QL en kabyle indique "la marche, le mouvement" (thikli) et la marchandise-l'esclave (akli) alors qu'en romanes le raccourci entre la marche, marcher et le marché est peut-être justifié: le marché en kabyle devrait contenir la racine QL/KL voir ML. A suivre.
Banque "blanche balance"
Des banquiers blanchisseurs d'argent, étymologiquement c'est pas volé comme nous allons le voir. Il suffit d'abord de comparer: ML kabyle est BL en romanes pour blanc, blanco, bianco. Ensuite, il faut savoir que l'étymologie officielle nous dit que le terme Banque serait issu de "banc". Eh bien il me semble que ce "banc" serait une variante biaisée:
Banque en réalité seait lié à "blanc", et surtout à "balance", voir à planche de balance (ou balançoire).
Transactions ou échanges c'est toujours argent contre marchandise (produit, service) à une valeure déterminée par le cours du marché.
En grec banque est trapeza avec référence à table. Si, comme on l'a vu plus haut, capital serait lié à bétail tandis que le terme marché serait lié à esclave=marchandise, le terme banque aurait pu être lié à étable plus qu'à la table en grec (trapeza) ou à banc en latin. Il est presque évident, surtout que l'on aura confirmation un peu plus loin, que l' on peut supposer que le terme Banque serait lié non pas à table mais à stable (tout le contraire de marché lié à marche ?), non pas à banc mais à balance; le terme banca lui-même serait blanca, balance.
Bêta : Ptah
En plus de balance, on a les synonymes libra (en latin, en astrologie) et bascule. Bien entendu, c'est aux linguistes de confirmer ou d'infirmer, cependant on peut supposer des origines étymologiques bien intéressantes de libra et bascule en parfaite corrélation avec celle de balance de banque.
Libra est, celà se voit, est en relation avec liberté, libre tout le contraire d'esclave-marchandise (lié au marché). Le terme latin révoqué Libra se serait, selon notre hypothèse, maintenu dans l'anglais pour Liver "le foie", ce qui nous renvoie directement à Hepta (sept en grec) et surtout à la divinité égyptienne Ptah protecteur des architectes et artisans, Ptah contiendrait la notion de foie, Jupiter comme on l'a déjà écrit sur ce blog il y a un bon moment. Dans notre cas présent, Ptah serait probablement ce qui est ensuite devenu Bêta.
Il est possible que Libra symbolise une fête religieuse, un événement astrologique majeur, probablement l'équinoxe d'automne (l'équinoxe signifie toujours un passage); la Yuriev Den (sorte de saint-georges) des Slaves en automne quand les serfs, presque esclaves quoi, avaient la liberté de changer de maître (un mercato quoi!); ça rappelle un peu les saturnales romaines quand les esclaves prenaient la place de leurs maîtres, cette permutation durait 3-7 jours de fête.
Bascule
L'origine étymologique officielle du terme bascule est peu convaincante. Il serait raisonnable de supposer que bascule n'est rien d'autre que Pascale adj.de Pâques. Ou tout simplement ceci : Ptah "qui ouvre" aurait donné Bêta pour l'alphabet (première lettre en hébreu par exemple) et surtout Pâques pour "équinoxe" de printemps (passage du printemps) certainement qui concorde avec la période de Pâques. Le terme Passage lui-même serait probablement une variante dérivée de Pasaq (Pasqua, Pâques) issu de pessah en hebreu lui-même emprunté à l'ancien égyptien Ptah.
Ptah égyptien a donné Pessah "passage" chez les juifs ainsi bien sûr que meftah "clée et surtout al-fatiha "ouverture" dans le Coran des arabo-musulmans. C'est un indice capital et sans équivoque qui démontre que les camarades sémites arabes-musulmans et juifs ont pillé dans la religion égyptienne - et on connaît leur haine de l'ancienne Egypte - bien plus antérieure aux leurs : c'est la revanche de Ptah sur les plagiaires.
Peso
Ptah égyptien a donné pessah en hébreu et donc Pâques dans le monde jadis romanisé devenu par la suite "judéo-chrétien". Psah "pâques" ou équinoxe du printemps aurait à mon sens donné en russe vesna (printemps), vès "poids"...tout comme peso (poids) en espagnol ou peser en français. (pour l'anecdote le terme poids est issu de pondre...on revient aux oeufs !). Ce qui nous laisse supposer que Ptah dieu des artisans et architectes aurait un sens rationnel lié au poids et mesures.
Bêta kabyle
On voit que Ptah "celui qui ouvre" de l'ancienne Egypte est devenu :
Ftah chez les arabes
Psah/Pessah "passage" (pâques) chez les juifs.
Psac ou Pasqua en latin/romanes
Et en kabyle Ptah serait comment ?...
Et bien d'abord regardez bien l'hiéroglyphe égyptien qui donna par la suite la lettre B.
Ptah devenu ailleurs Ftah, Psah, Pasaq en kabyle est devenu Taq (dTaq) "fenêtre, lucarne" : c'est une ouverture qui explique donc le sens de Ptah mais aussi l'hiéroglyphe correspondant à Bêta en forme de rectangle non-clos avec justement ce passage ou fenêtre/lucarne.
Donc Ptah serait chez nous Taq, dTaq : le p a disparu ou a été absorbé dans le T emphatique. C'est par le terme dTaq que l'on désignerait alors et Ptah, et Pâques et la lettre Bêta. Mais là c'est toute une autre histoire que l'on étudiera ultérieurement.
B ou bêta est certainement issue de Ptah (qui a donné Egypte, Copte) et sous sa forme B comme une balance à deux plateaux convient parfaitement à l'Egypte ou plutôt aux Deux-Egyptes, Haute et Basse, une sorte de balance des deux terres :) On devra aussi retrouver l'autre peseur, Osiris. Plus généralement la balance (lire sur balancerie) est un symbole de justice, de commerce, etc...
P.S.
Il y a des choses curieuses que les linguistes devraient nous expliquer. Par exemple, Bâta ou beyt/beth signifie "maison" en sémitiques. Habiter, Habitation aurait-il un lien avec bêta, beth/beyt ? surtout quand on regarde la proximité habitation vs habit :) idem pour veste, vêtement vs bestia (bête). Habit pour protection sans doute. Le tout proche de hepta (sept en grec) liéa sans doute à Ptah. Tout ça devra être analysé plus sérieusement. Une autre fois.
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