Je suis un peu sous le coup de l'émotion donc je vais juste annoncer la découverte et ensuite je reviendrai sur ce sujet plus en détail.
Chers compatriotes, nobles citoyens!
Le "ayn" sémitique - arabe, transcrit par â ou 3 ici sur ce blog, vient de s'éffondrer.
Ce "ayn" a cannibalisé un digramme dans la langue-mère, le kabyle notamment.
En plus de la gamma "gh" j'ai trouvé que cet intrus "ayn" aurait pu remplacer:
- ND ou endo comme dans le grec endon (au-dedans)
- NT ou ant comme dans anti- ou dans anatomie ou anatolé (orient, est) en grec
- KNT ou quant latin comme en français quantité
Et surtout la formule qui se confirme le plus:
"ayn" ou â/3 sémitique-arabe ~ KN ou quan kabyle-mazigh
Les chiffres , les dizaines:
âshRa (dix) serait en fait kn-sRa ou knZRa.
La racine des dizaines (ou plutôt suffixe) est ZR chez nous et probablement DR (dh.r) en grec comme pour hydre par exemple. Cette racine ZR ou zr signifie beaucoup de choses en kabyle et mazigh: aZaR (racine), iZRi (vue), aZRem, (boyau, entrailles), azrem (serpent), te
Le mythe d'Anzar, d'Oziris, de l'Hydre, du Minotaure et du Centaure sont désormais faciles à expliquer.
Je vous ai dit que le Centaure (moitié homme-moitié cheval) devrait avoir une explication avec cheval pour la racine du mot Kent, Cent qui marque la centaine. Eh bien voyons les chevaux du mythe kabyle, les chevaux d'éclair et de vent:
âwdhiw: avec "â = kn" on aura la racine du mot: kndw ou kntw.
Voilà que le mythe du centaure est expliqué. Pour les autres je leur laisse le soin de comprendre le "monstre" âzrayel ou âzrayen, celui dont ils ont si peur!
Ensuite prenons qendTaR (quintal), tha-qendTaRth (pont): il est inutile aux camarades de prétendre à quoi que ce soit, si c'était leurs vernaculaires ils auraient dû être avec leur "ayn"!
Bref, nous sommes entrés dans le domaine de l'arithmétique (compte, calcul), plus généralement des mathématiques comme elles étaient pratiquées il y a très longtemps.
Pour finir il faut juste signaler que notre KN n'a pas été partout cannibalisé. Exemple de l'arbre cerisier tha-knisya qui si cannibalisé serait devenu âsya ou âysha (Aïsha, supposé Aset/Isis soeur d'Osiris) ou voir même comme Aissa (Jésus). Le mot âysh (vivre), cannibalisé donc par le "ayn", serait plutôt knys ou kns (à vérifier) comme le cerisier si adoré par ...les japonais (sakura)! Ils s'y connaissent les fils du soleil levant!, et dire qu'on pensait qu'ils étaient forts uniquement en électronique!
Voilà que l'intrus "ayn" est mis à nu, désormais on peut le chasser de notre langue et bien sûr reprendre notre lexique usurpée par les camarades venus d'Orient.
Encore une victoire de la Vérité sur l'usurpation, grâce soit rendue au Créateur.